Les chats, c’est des gros batards. Et étrangement (tu pourras dire « coïncidence, mais j’y crois pas du tout), les enfants ressemblent vachement à ces sales petites bêtes en terme de marquage de territoire. Y’a quand même beaucoup trop de similitudes pour que ce soit juste un hasard.
Ils pissent partout
Au lit déjà, mais aussi sur le canap, dans la baignoire, sur vous, sur eux, contre les arbres, dans l’herbe… A croire qu’ils n’ont aucun contrôle de leur vessie ces petits cons.
Ils utilisent un langage qu’eux seuls comprennent
A base de « areuh » « dabou » « dida » « nanala » et autres trucs qui ne veulent strictement rien dire. Pourtant, quand deux enfants du même âge se croisent, ils savent très bien se parler entre eux, exprès pour que vous ne pigiez rien.
Ils écrivent sur les murs
Les chats font leurs griffes sur le canap, les enfants dessinent sur les murs. C’est un moyen comme un autre de montrer qu’ils sont chez eux, et qu’ils font ce qu’ils veulent, tout comme ces gros batards de chats.
Ils se collent à vous
Ils se mettent dans vos jambes, tout le temps, quitte à vous faire tomber. Même s’il fait 40 degrés, ils adorent se coller à vous et montrer au monde que vous leur appartenez.
Ils vous vomissent dessus
Sans consentement, sans prévenir, rien. Ils vous marquent de leur odeur de vomi qui ne part pas même après plusieurs lavage, histoire de bien marquer leur territoire, comme des animaux.
Ils ne supportent pas que vous ayez quelqu’un d’autre qu’eux dans les bras
Parce que vous êtes à lui, et à personne d’autre. Si vous avez le malheur de prendre dans vos bras votre petite nièce qui vient de naitre, c’est le drame, le chaos, l’apocalypse, votre enfant se jette sur vous et tente de vous arracher le bébé des bras.
Ils se tapent dessus
Pour savoir qui est le plus fort, et qui domine l’autre. Bon, ne misez pas trop sur votre môme, c’est pas le plus vaillant de tous.
Ils vous volent votre bouffe
Ce qui est à vous est à eux, et du moment que vous mangez quelque chose, vous vous devez de lui faire gouter aussi, histoire que vous compreniez bien que vous n’avez plus rien qui est juste à vous. Marche aussi avec vos fringues et vos affaires.
Vous avez remarqué d’autres trucs ?