On ne va pas se mentir : 2020, c’était une année bien pourrie ! Tout le monde en a fait les frais d’une manière ou d’une autre. Le virus a mis un gros bordel dans nos vies. La maladie, la peur, la paranoïa, l’isolement… On s’est pris deux confinements, les cinémas, les théâtres, les musées, les salles de sport et bien sûr les bars et les restos ont fermé puis ont rouvert avant de fermer à nouveau. Et en plus, pas moyen de savoir avec certitude si on dit le Covid ou la Covid.
Bref, c’était pas la joie.
Néanmoins, dans certaines villes, compte tenu des circonstances, la vie s’est écoulée de manière un peu plus douce. C’est en tout cas à cette conclusion qu’en est arrivé le magazine Global Finance, qui tous les ans, établit son classement des villes où il faut bon vivre, d’après des critères économiques, culturels, environnementaux et désormais d’après le virus aussi.
Tokyo (Japon)
À Tokyo, il y a du boulot, la culture est partout, la qualité de vie est au rendez-vous et on commence sérieusement à s’inquiéter pour l’environnement. Niveau Covid, la ville à enregistré moins de 500 décès. Tokyo qui est donc la grande ville où il fallait être en 2020 pour ne pas avoir l’impression de vivre un cauchemar éveillé.
Londres (Angleterre)
Plus près de chez nous, la capitale anglaise rafle la seconde place, même si niveau virus, la ville ne fut pas non plus épargnée. Néanmoins, niveau économie et culture, Londres fait toujours office de bonne élève.
Singapour
En perpétuelle expansion, Singapour s’impose un peu comme l’exemple à suivre. Y compris quand il s’agit de faire face à une pandémie mondiale. Les mesures ayant ici été non seulement efficaces mais aussi prises à temps pour éviter la catastrophe totale.
New York (États-Unis)
Broadway a peut-être fermé, tout comme de nombreux lieux touristiques, mais Big Apple n’en est pas à son premier fléau. La ville qui continue à se développer néanmoins, comme une entité à part, affichant de bons résultats économiques et continuant à s’imposer comme une cité culturelle d’envergure.
Melbourne (Australie)
L’Australie, Melbourne en particulier, fait beaucoup pour alléger la note sur un plan environnemental. Notamment en ce qui concerne les émissions de gaz à effet de serre. Par contre, le bilan n’est pas aussi bon concernant la gestion de la pandémie. L’état de Victoria étant le plus touché du pays à ce jour…
Francfort (Allemagne)
Le PIB de Francfort est le plus élevé d’Allemagne. In your face Munich ! Même si la pandémie a méchamment ralenti la croissance, la ville a toujours avancé la tête haute !
Paris (France)
Vous vivez à Paris et vous n’avez pas l’impression que c’était absolument génial ces 10 derniers mois ? Normal, ça ne l’était pas. Le truc, c’est que c’était pire ailleurs. L’étude saluant comme toujours l’aspect culturel de la capitale mais condamnant vivement la gestion de la crise sanitaire.
Séoul (Corée du Sud)
Axée sur la recherche et le développement, la ville a aussi admirablement géré la crise, limitant considérablement le nombre de victimes par rapport à d’autres métropoles. La Corée du Sud s’étant dans l’ensemble distinguée depuis le début de la pandémie.
Berlin (Allemagne)
La capitale allemande n’est pas en reste grâce à son fort dynamisme culturel et économique. Une ville mise en mal, qui gagne une place par rapport à l’année dernière grâce à sa gestion de la pandémie. Même si au fond, l’Allemagne a aussi morflé.
Sydney (Australie)
La ville australienne ferme la marche, grâce à son patrimoine culturel et à sa politique environnementale performante. Saviez-vous par exemple qu’une partie de Sydney est depuis juillet 2020 uniquement alimentée par les énergies renouvelables ?
Moralité : pour vivre heureux en pleine pandémie, vivons à la campagne.
Source : Ouest France