Ça y est, elle s’en va, l’atout charme de la rédaction, la petite fleur du champ des auteurs, la plume la plus pimpée du pôle rédac, la petite mannequin des lettres, le genou pété du corps de la rédaction… Aujourd’hui c’est le dernier jour de Lise Gillet au bureau et déjà un paquet de choses vont nous manquer chez elle, on en a même listé quelques-unes.
Son petit rire particulier
À moitié entre la porte qui grince et le cri d’un renard qui se coince une couille entre deux cailloux, le rire de cette délicate personne était un moteur pour nos journées.
Sa chevelure de feu
La chevelure délicate et rousse qui lui a valu la jalousie de sa collègue Pierre Galouise (qui a un nid d’oiseau bien fianté à la place des tifs) nous manquera également, même si c’est pas sa couleur naturelle à cette grosse mythomane capillaire.
Sa capacité à se blesser sans bouger
Même assise dans une salle capitonnée en coton elle est capable de se péter plus de deux jambes, la seule personne qui peut se cogner autant c’est un enfant bourré dans une boule de hamster géante.
Ses histoires de dates catastrophiques
À chaque fois qu’elle rencontre un gars c’est un immense connard, un vrai aimant à enfoiré cette pauvre tite mère. Un aimant à emmerdes tout court d’ailleurs. Pourtant elle est toujours positive et ça c’est sa force à cette débilos.
Sa dépendance aux kiri goûters
Malgré deux tentatives de cures de désintoxication anti-kiri goûters, elle n’arrête pas d’en bouffer, d’en parler, de l’écrire dans ses articles… Franchement si vous avez un contact qui bosse là-bas dites lui qu’on a une influenceuse ou une mascotte « Kiri goûter » à lui proposer.
Ses combinaisons intégrale jean
Toujours tirée à quatre épingles, cette petite fashionista qui porte mieux que vous votre propre combi en jean. C’est chiant les gens beaux, vivement qu’elle se taille pour qu’on puisse enfin arrêter de culpabiliser dès qu’on mange un smarties.
Sa passion pour les jeux Léa Passion
Je sais toujours pas ce que c’est ces jeux de merde, mais rien qu’à savoir qu’elle pourra plus m’en parler pendant vingt minutes pour me proposer une idée d’article ça me fume le cul de tristesse comme un enterrement.
Son genou plus malade que celui de Djibril Cissé
La meuf s’est tellement fait les ligaments croisés qu’ils ont été obligés de l’opérer avec une couturière spécialisée pour démêler tout ce bordel, c’était plus des ligaments croisés, c’était des tricots de laine les bordel.
Son body count plus chargé que celui d'un tueur à gages
C’est pas la dernière pour choper en soirée, ce qui lui a valu des surnoms tels que « le sac à fo*tre du SEO » de la part de cette sorcière de Pierre Galouise. Je peux vous dire qu’elle a fait sa vaisselle dans un paquet d’éviers cette goulue là, y’a qu’à « Être étudiant » qu’elle a pas péché de merlu.
Sa malchance légendaire
Vous voyez ce moment où avant de décoller la porte de l’avion se ferme mal et y’a une valise qui tombe pile dans un gros tas de merde juste avant de s’auto-enflammer ? Eh bah c’est sa valise à elle.
Son odeur de transpi qui fait voyager
Voyager dans un bus au mois d’août quand il fait 54° par contre, vla comment elle refoule la bougresse.
Son carnet d'adresse de médecins et kiné
Le jour où je suis blessé je l’appelle direct, elle a vu passer plus de médecins qu’une fac de médecine la bougresse.
Ses connaissances légendaires en astrologie
Tellement elle est nulle en astrologie qu’elle a fait des vidéos qui ont plus bidé que le film d’Éric et Quentin cette grosse bouffonne. On n’avait jamais vu un aussi gros bide à Topito que depuis le Rac’late show qui a coûté plus cher que le mariage à Jennifer Lopez et a fait 3 vues (dont deux du client).
Ses anecdotes de la lose
Chaque lundi ça part en « oh mais je vous ai pas raconté ?? » et là on se dit que si des scénaristes voulaient trouver un moyen d’inventer des histoires abracadabrantesque sur la lose ils n’y arriveraient pas aussi bien tellement sa vie c’est « les malheurs de Sophie » version rouquine.
Sa façon de prévenir avant d'aller chier
« Bon je vous laisse faut que j’aille passer un call » avant d’aller pourrir les chiottes comme si c’était les latrines du salon annuel du chili con carne. Ptit pot pourri celle-là.
Son physique de mannequin recouvert de bleus
Prenez un corps de meuf bien fraiche comme la bière que je viens de sortir de la glacière et imaginez le plus cabossé qu’un meuble télé que vos potes bourrés viennent de laisser tomber dans l’escalier pendant le déménagement : vous obtenez le corps de Lise Gillet.
Son titre indisputé de "tchoin du SEO"
En tant que rédactrice d’articles SEO elle est connue dans le milieu comme celle qui peut vous vider le cache plus vite que son ombre, elle seule sait comment astiquer le gros tuyau du SEO pour faire des articles qui pètent les stats. Une sommité dans le métier.
Son vocabulaire fourni
Avec ses expressions comme « le riquiqui », « jouer au couèms », « avoir la chienne », « se faire un frottis de rire »… Que des bangers qui sortent de sa petite bouche.
Son accent québécois qui revient étrangement par moments
Alors qu’elle n’est même pas québécoise et qu’elle n’y a jamais foutu les pieds. Elle a juste vu un film qui se passait là-bas et depuis elle est persuadée d’être à moitié québécoise cette nigaude.
Sa manie de chialer tout le temps
Elle est triste, elle chiale. Elle est contente, elle chiale. Il fait trop chaud, elle chiale. Il fait trop froid, elle chiale. Elle chiale, elle chiale encore plus parce que ça la rend triste. Grosse chialeuse celle-là. Je suis sur que là elle est en train de chialer en lisant ce top.
Là comme ça on dirait qu’elle était relou mais je peux vous dire que savoir qu’elle va partir ça me fait les croisés de la dépression. Une femme comme ça on en rencontre qu’une fois dans une vie, Dieu il a posé un classique quand il l’a chié la gamine. Coeur sur toi ma Gillou.