On pourrait déjà se demander comment on trouve le temps de faire autant de séries (et de les voir). Mais pire encore, on peut surtout se demander comment on fait pour voir aussi les remakes de vieilles séries comme si les séries originales ne suffisaient pas. Chaud quand même. Eh bien pourtant, aussi injuste que cela puisse paraître, certains remakes sont bien plus connus que leurs originaux. Enquête au pays des séries oubliées.
The Office
C’est l’exemple le plus parlant, celui que tout le monde connaît. On a beau adorer Ricky Gervais, c’est Steve Carell qui remporte tous les lauriers de l’adaptation américaine de la série britannique. C’est pas pour rien que le remake a fait 9 saisons alors que l’original s’est arrêté lamentablement au bout de deux saisons de malaise.
Homeland / Hatufim
Absolument inconnue du grand public, la série israélienne Hatufim (qui signifie « Enlevés » en hébreu) est toutefois l’original de Homeland. Toutefois quelques aspects diffèrent nottamment le fait que les anciens prisonniers soient au premier plan de l’intrigue quand celui qui les surveille (la Carrie) est un peu en retrait.
The Killing
SI pour notre part on a surtout maté la version danoise, il faut bien reconnaître que la version US a rencontré un succès plus international. L’histoire très sombre est transposée à Seattle et diffère de la version danoise sur les derniers épisodes de la première saison.
House of Cards
Si l’on connait bien le personnage de Frank Underwood (enfin feu-Frank Underwood) joué par Kevin Spacey (enfin, feu-Kevin Spacey), la série Netflix est une adaptation d’une série britannique du même nom datant des années 90.
V
On n’est pas totalement sûr que le remake de la série V soit plus connu que son original, mais une chose est sûre c’est que c’est à peu près plus ou moins relativement globalement l’un dans l’autre quelque part aussi pourri.
En analyse / Betipul
Encore une série adaptée cette fois-ci mot pour mot de la série israélienne Betipul. D’ailleurs le créateurs de la version américain n’est autre que Hagai Levi qui produisait également la version israélienne. mais bon, il se trouve que comme toujours, les versions américaines connaissent moins de frontières.
Being Human
Adaptation américain d’une série britannique du même nom Being Human : La Confrérie de l’étrange. Une sombre histoire de vampires de fantôme et de loup-garous, ce qui va à l’encontre du titre de la série « being human » puisque justement ils sont pas du tout humains. Certainement une erreur du showrunner qui s’est planté dans le titre.
Shameless
Encore une série américain adaptée d’une série britannique du même titre qui avait elle-même remporté un franc succès.
Un gars, une fille
Bon là j’avoue on est un peu biaisé par notre amour de la série culte avec Jean Dujardin et Alexandra Lamy mais faut pas oublier qu’elle est toutefois l’adaptation de la série du même nom québécoise.
Et vous sinon ça va ?