L’imagination humaine n’a pas de limite quand il s’agit de faire souffrir son prochain. En effet, toutes les cultures ont à un moment donné inventé des techniques plus ou moins élaborées pour couper des morceaux ou rentrer des bouts de métal dans leurs semblables. Est-ce que ça suffit pour dire que la torture lie les peuples ? C’est beau putain.
Il y a un autre point commun entre beaucoup de cultures, c’est que l’adultère est assez rarement apprécié. Surtout pour les femmes d’ailleurs, parce que chacun sait que c’est elles qui provoquent de pauvres hommes fragiles et sans défense.
L'assassinat pur et simple
A Athènes ou à Rome, pendant l’antiquité, une femme plus satisfaite par son collègue que par son mari pouvait se faire buter sans autre forme de procès par le mari en question. L’amant s’en sortait bien mieux puisqu’on se contentait de lui mettre avec amour un radis noir dans l’anus. Et les légumes, c’est bon pour la santé.
La livrer à des esclaves très bien membrés
A Rome encore, on comprenait que la femme pouvait avoir des envies d’ailleurs. Alors on la mettait en contact avec des esclaves jusqu’à ce qu’elle n’ait plus trop d’intérêt pour la gaudriole. Tant d’humanité, ça donne envie de pleurer.
L'enfermer dans un bordel avec des clochettes autour de la taille
A Rome aussi, on pouvait aussi décider d’enfermer les viles pécheresses dans un bordel, pour leur apprendre, tiens. Mais comme on était pas des monstres, on leur mettait des petites clochettes autour de la taille pour donner un côté festif à l’ensemble.
L'exil
A Rome toujours, qui dispose décidément d’un panel complet de punitions, on pouvait aussi décider d’un exil à vie sur une île déserte, histoire d’avoir beaucoup de temps pour se ressourcer et réfléchir à quel point c’était une mauvaise idée de coucher avec ce bel inconnu.
Lui arracher le vagin puis la couper en deux
On arrive à la caution « uuuurg » du top. Imaginez mesdames : dans un élan de bonté, vous faites un très gros câlin à un de vos amis qui était un peu triste, sans le dire à votre chéri. Eh bah en Turquie, on punissait cette générosité en s’assurant que vous ne pourriez plus jamais avoir d’enfants ni faire pipi d’une part, puis en s’assurant qu’on pourrait vous enterrer dans un petit cercueil.
Lui couper le nez et les oreilles
Au Danemark, un mari cocu pouvait s’assurer que ça ne recommence pas en pratiquent lui-même une opération de chirurgie esthétique sur sa dulcinée pour la rendre un peu moins attirante. Sinon il y a le divorce, hein.
La mettre sur un lit de braises incandescentes
En Inde, pour punir une femme adultère, sa famille lui confectionne un superbe lit en braises et l’allonge dessus. Fais de beaux rêves little princess.
La livrer à un cheval en rut
En Thaïlande, le mec d’une dame un peu curieuse s’est sûrement dit « Bah quoi? De toutes façons les gonzesses elles aiment les chevaux, non ? Alors qu’elle se plaigne pas. » C’est l’explication la plus logique.
La lapidation
Chez les hébreux notamment, même si celle-là elle est très répandue, quand une femme essayait de voir qui était le plus performant entre son mari ou le facteur, on l’enterrait jusqu’à la tête et on lui jetait des cailloux jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Lui couper la main
Et encore chez les hébreux, si une femme touchait le sexe d’un autre homme, on lui coupait la main. Valait mieux pas être urologue.
La faire passer sous les pieds d'un éléphant
La fidélité, c’est une valeur pilier chez les éléphants chinois. Alors quand ils entendent qu’une femme ne respecte pas ça, ils deviennent grognons et la piétinent.
Notez qu’évidemment à côté de ça les mecs qui trompaient leur meuf avaient juste droit à une tape chaleureuse dans le dos. Allez, maintenant que vous savez tout, n’hésitez pas à tagger vos potes cocus.
Source : Le livre Cocus, même les grands hommes peuvent l’être