Le petit prince d’Angleterre (ou princesse) et va bientôt naître et par conséquent on ne peut pas s’empêcher d’imaginer ce qu’aurait pu être notre vie si seulement on était « bien né ». Mais, franchement on se prend la tête pour rien, car si devenir prince semble apporter quelques avantages évidents, il ne faut pas oublier que beaucoup ont eu un destin moisi. Voici 5 exemples qui vous feront dire que vous n’êtes pas si mal lotis en bon roturier(e) que vous êtes.
Prince de Lu: égérie de gâteau de gouter trop sucré
L’ Oreo du pauvre représente tout ce qu’il ne va pas dans les petits gâteaux français. Outre une image marketing qui a, à peu près, mille ans de retard, et le packaging dégueulasse le moins pratique du monde, le Prince de Lu est une sale enflure qui vous prend en traître. Vous saviez qu’un seul misérable Prince fait pas moins de 100 calories ? Donc, que si vous en bouffez quatre, vous aurez avalé l’équivalent d’un magnum ou d’un gros hamburger… Tout ça pour un biscuit qui assèche le palais.
Le petit prince du Raï: ex-chanteur-tellement-je-t'aime
Vous aurez reconnu Faudel, membre émérite du groupe éphémère « 1, 2, 3 soleil » qui a réussi à nous massacrer des soirées entières avec un tube à la con. Après avoir connu la gloire à la fin des années 90, le petit prince a, comme de nombreux mauvais chanteurs, tenté une carrière de comédien. Bilan : une bonne croûte avec Audrey Tautou, puis « Samy, le pion », un téléfilm de M6 qui se veut une sorte de l’instit’ du pauvre. Après, c’est le drame, il se met à enregistrer des albums de reprises et se rapproche de Sarkozy pendant la présidentielle, ce qui contribuera a le ranger du côté des gros has-been. Il fonde l’entreprise « Diamant Music » en 2007, qui dépose le bilan en 2011 -on se demande bien pourquoi, avec un nom comme ça, c’était la réussite assurée- et depuis, rien ou presque. Non définitivement, Faudel n’a pas la classe.
Prince: chanteur à talonnettes
Il est petit, un peu étrange, déroutant, au point que même le terme androgyne ne lui corresponde pas vraiment. Reste qu’il joue plutôt bien de la gratte, certes, seulement il préfère gémir un R’n’B un peu mièvre et n’a pas fait une bonne chanson depuis 20 ans.
Ce n’est pas pour rien qu’à un moment de sa carrière il changea de nom pour devenir « Love Symbol ». Le titre de Prince, ça se mérite.
Prince Naseem: boxeur déficient
Ce qu’on appelle un gros barjot. Sur le ring, on ne peut rien dire Nasseem avait la classe, ce qui n’était pas gagné vu son goût pour les shorts en léopard et son goût pour les entrées extravagantes. Mais une fin de carrière en eau de boudin et un goût prononcé pour les frasques ont fini par en faire un mine d’or pour les tabloïds anglais. Après avoir provoqué un horrible accident de voiture, il a écopé de 15 mois de prison puis fut assigné à résidence. Depuis il a pris une bonne trentaine de kilos et est méconnaissable. Le temps où il rentrait sur le ring avec un short en plume en faisant un salto est loin, très loin.
Prince Joffrey: le petit salopard de Game Of Thrones
Déjà son père c’est son oncle, donc c’est pas le meilleur début dans la vie, mais c’est très commun dans le Nord de la France. Ensuite, il a tellement une tête de raclure que même les Serpentard et « l’association des enfoirés de France » auraient refusé d’en faire un membre. Arrogant, vénal et prétentieux, il fait tout pour que le monde entier le déteste, et ça marche. Il n y a rien qui tourne rond chez ce prince-là, qui n’a définitivement pas la classe, même s’il deviendra (attention spoiler) « King Joffrey ».
(bonus) Prince PD
C’était certes le héros du goûter, mais les Nuls avaient vu clair dans son jeu: le prince avait un petit souci de sexualité. Qu’au final d’ailleurs, on appellerait plus exactement Prince Pédophile aujourd’hui.
Vous avez toujours envie d’être prince ?