Les soutiens-gorge font partie du quotidien de biens des personnes sur Terre, et pourtant : nous leur donnons bien peu d’intérêt. Au-delà du fait que personne ne se demande pourquoi on appelle ça un « soutien-gorge » et pas un « soutien-poitrine », il y a aussi plein de trucs que l’on fait mal, et qui l’abîme (quand ça n’abîme pas nos seins). Il est temps de les respecter un peu plus, en commençant par arrêter de faire tout ce qui est évoqué dans ce top !
L'attacher au cran le plus serré
Le soutien-gorge est fait pour être attaché à la première agrafe : la plus lâche. Les autres sont là pour le resserrer au fil du temps, quand les fibres du tissu commenceront à se détendre. Il faut donc le prendre en compte lors de votre achat !
Ne pas ajuster les bretelles
C’est évident, mais si elles sont trop lâches, ça ne soutient plus rien. Si c’est trop serré, c’est pas du tout confortable. On les serre pour que la poitrine soit maintenue, sans pour autant avoir la circulation des épaules coupée ! Faisons preuve d’un peu de logique.
Prendre un soutif trop serré pour avoir des seins bien remontés
Non, surtout pas ! Si vous souhaitez obtenir cet effet, rabattez-vous simplement sur un push-up. Ils sont conçus spécifiquement pour donner un effet de décolleté pigeonnant, alors qu’un soutif trop petit vous coupera juste la circulation. Pas ouf.
L'essayer sans lever les bras
Ça peut paraître bête, mais il est impératif de lever les bras au moment de l’essayage ! C’est la meilleure manière de vérifier qu’il soit parfaitement ajusté, confortable, et surtout : qu’il ne remonte pas à vos moindres mouvements. Alleeeeez zépartiiiii tout le monde les bras zen l’aaaaair !
Porter le même soutif deux jours d'affilée
Attention, on ne vous dit pas de le mettre à la machine après chaque utilisation, hein ! Vous pouvez le porter plusieurs fois avant de le laver, mais il faut simplement faire attention à lui laisser au moins un jour de repos entre chaque utilisation. De cette manière, il retrouvera rapidement son élasticité.
Le laver trop souvent
On vous a déjà révélé la bonne fréquence de lavage des soutifs, mais on vous le redit : une machine toutes les 3 utilisations, environ. Le laver trop souvent, c’est accélérer son vieillissement. Soyons honnêtes : on le garde tous bien plus longtemps, dans tous les cas.
Le jeter ouvert dans la machine
Avant de le mettre en machine, assurez-vous de bien avoir attaché les agrafes. Si vous ne le faites pas, elles risquent de s’accrocher au bonnet (ou à vos autres vêtements) et de les abîmer ! Un problème que la team brassière ne se pose pas, et ça fait plaisir.
Le laver à trop forte température
L’idéal, c’est un lavage à froid, et à la main, afin de ne pas l’abîmer tout en lui redonnant son élasticité. Puisqu’on est bien d’accord pour dire que « FLEMME ! », mettez-le en machine, dans son petit filet, mais jamais à plus de 30°c ! Au-delà, vous l’abîmerez, et lui retirerez rapidement son élasticité. Au prix que ça coûte, c’est relou.
L'attacher par devant
Comme quoi les techniques les plus pratiques ne sont pas toujours les meilleures ! Si vous aussi, vous l’attachez devant, à l’envers, pour ensuite le retourner, sachez que vous abîmez considérablement votre lingerie. Le mieux reste de le positionner directement sur votre poitrine, et de l’attacher en vous penchant en avant. Si c’est trop compliqué, attachez le devant, mais sans le retourner ! Vous épargnerez au moins les baleines.
Le porter à l'envers
Si les attaches sont devant, et les bonnets dans le dos, ça ne sert à rien. Vos omoplates n’ont pas besoin d’un tel maintien.
Eh puis si vous ne voulez pas en mettre, n’en mettez pas ! Ça enlève bien des tracas.