BONJOUR lES AMIS !!! Pourquoi tant d’excitation allez-vous dire ? Tout simplement parce que c’est le 400ème épisode des champions de la semaine et que je ne peux plus contenir ma joie. Pour l’occasion on a une fois de plus retrouvé les faits divers les plus débiles de la semaine, et encore une fois c’est grâce à @ajustetitre qui nous dégotte chaque semaine des exemples incroyables. Merci à lui, merci à vous, mais surtout merci aux champions qui permettent de remplir ces lignes depuis 400 numéros.
Il bricole les fesses à l'air dans son jardin, ses voisins le dénoncent aux gendarmes
L’analyse de Topito : Oui parce qu’on n’a pas le droit de se balader à poil chez soi si on peut nous voir, donc bricoler cul-nu c’est pas vraiment conseillé. Ceci-dit, bricoler à poil c’est également déconseillé pour des raisons évidentes de sécurité.
Le "cosmonaute" la séduit sur Instagram, elle paie 31 000 € pour qu'il rentre sur Terre
L’analyse de Topito : Les brouteurs sont des arnaqueurs assez connus, mais là il faut dire que c’est du grand art. Se faire passer pour l’un des quelques cosmonautes présent dans la station ISS et réussir à faire croire qu’on a besoin de 31 000€ pour rentrer sur Terre c’est une prouesse.
Isère : ils partent aux châtaignes et reviennent avec 5,4 kg de cannabis
L’analyse de Topito : En soit c’est toujours chiant quand on va chercher quelque chose et qu’on se retrouve avec un truc différent, surtout quand c’est un produit illégal. Mais en même temps, la weed ça coûte vachement plus cher au kilo que les châtaignes, donc l’un dans l’autre c’est pas mal.
En congé, il serait revenu dans sa société pour voler les 417 chèques restaurant de ses collègues
L’analyse de Topito : Pour sa défense, si on se pointe au bureau pendant un jour de congé faut vraiment, vraiment que ça vaille le coup. Y’a un juste milieu entre « ça vaut le coup » et « voler 417 chèques restaurants » vous allez me dire, et vous n’avez pas tort, mais faut que les efforts viennent des deux côtés.
Reims : un mini-drone utilisé pour braquer une banque, 150 000 euros de butin
L’analyse de Topito : On peut reconnaitre un certain talent, ou du moins une certaine originalité à ce braqueur 2.0 qui a réussi à berner tout le monde avec un mini drone. 150 000 balles volés grâce à un drone à moins de 200 euros c’est un bon retour sur investissement.
Ariège : il veut éviter un sanglier et se fait percuter par sa compagne
L’analyse de Topito : C’est chiant, parce que les deux voitures doivent aller au garage, faut faire un constat alors qu’on habite ensemble, ça lance une embrouille dans le couple et le sanglier n’en a rien à foutre. Ça se voit qu’il n’a jamais été obligé d’envoyer des courriers à son assurance auto.
Un village de 83 habitants attire les visiteurs grâce à la statue géante d’une chips au fromage
L’analyse de Topito : Rien qu’en lisant le titre j’ai envie d’y aller, d’abord pour l’amour de l’art de la sculpture mais aussi pour l’amour des chips au fromage. Y’a pas à dire, quand il s’agit de renverser les codes artistiques ils s’y connaissent les nord-américains.
Elon Musk lance un parfum senteur « poils brûlés », 10 000 flacons se vendent en quelques heures
L’analyse de Topito : Comment vous voulez qu’on avance dans le monde si à chaque fois que des types comme lui sortent une merde quelconque des milliers de personnes se précipitent pour les acheter ? Ça fait peur. Et en même temps… Le poil brulé ça a une odeur particulière qui passerait bien en parfum. Putain c’est vraiment un génie Musk.
Espagne : Une poule munie d’une caméra crée la panique chez des militaires
L’analyse de Topito : On aurait foutu cette scène dans un film qu’on aurait trouvé que c’était pas crédible. Des militaires qui se mettent à paniquer parce qu’une poule équipée d’une caméra arrive dans leur base c’est pourtant vraiment une idée de scénario de génie. Ou de merde remarque, ça peut aussi être vraiment une idée de merde, la frontière entre les deux est souvent mince.
Son entrevue avec le pape François refusée, un touriste brise deux bustes antiques au Vatican
L’analyse de Topito : Dans le jargon de la visite de lieux touristiques on appelle ça un gros con. C’est pas parce qu’on vient des États-Unis qu’on peut demander à voir le Pape comme ça sans raison, et c’est pas parce que c’est refusé que ça donne le droit de péter deux sculptures vieilles de 2000 ans. Bon, après le Pape il a pas grand chose à foutre de ses journées, ça lui coutait que dalle d’aller serrer une main.
Une bonne fin de dimanche à vous, portez vous bien et on se retrouve la semaine prochaine pour le numéro 401. Bisous.