Des buts, avant cette coupe du monde en Russie en 2018, les bleus de l’Equipe de France en ont marqué plein, près de 100. Mais tous ne marqueront pas l’histoire, autrement qu’en statistique. Certains par leur construction, leur réalisation et le souvenir qu’ils laisseront dans la mémoire collective font partie des 10 plus beaux. La preuve en image.

Benjamin Pavard (2018, France-Argentine)

On l’a en tête, on est tous au second poteau, il nous a tous fait une nacho, non ce n’est pas une nacho, c’est une Pavard.

Marius Trésor (1982, France-Allemagne)

Un défenseur, une demie-finale, l’Allemagne en face. La reprise de volée la plus célèbre des bleus, avant Benjamin, pour un match qu’on croyait gagné…

Didier Six (1982, France-Koweit)

Ouverture de platoche, amorti de la poitrine en pleine course, et reprise avant que la balle ne touche par terre. Koweit ou pas en face, fallait le faire.

Alain Giresse (1982, France-Allemagne)

La joie la plus communicative de l’histoire de l’équipe de France, après une frappe de dingue dans les prolongations contre l’Allemagne. On croyait encore un peu plus avoir gagné, mais ça c’était avant… Larqué avait tout vu avant, mais pas la suite…

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

Bernard Lacombe (1978, France-Italie)

L’un des buts les plus rapides de la coupe du monde, construit depuis derrière, avec Didier Six aux jambes de feu sur l’aile gauche.

Emmanuel Petit (1998, France-Brésil)

Le meilleur joueur de la finale selon Aimé Jacquet. Un but au bout du bout, pour la victoire la plus large dans l’histoire de la coupe du monde en finale.

Michel Platini (1986, France-Italie)

Petite passe de Rocheteau et ballon piqué de Platini. Le plus italien des français élimine ses meilleurs ennemis.

Christian Lopez (1978, France Hongrie)

Une frappe en pleine lucarne, le tout avec des maillots verts et blanc, ça ne s’invente pas…

Bixente Lizarazu (1998, France-Arabie Saoudite)

Ok le match était déjà joué, mais la construction est belle, et la passe de Djorkaeff (comme quoi tout arrive) restera.

Franck Ribery (2006, France Espagne)

Premier but en sélection pour Ribery sur un une-deux bien joué. La France s’apprête à sortir l’Espagne d’Aragones. On avait repris une tournée de tapas pour fêter ça.

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Il n'a pas souffert, promis

Kylian Mbappe (2018, France-Argentine)

Pour sa construction depuis Lloris, et parce qu’il marquait la (quasi) fin du plus beau match de 2018 en coupe du monde.

(Bonus) Zinedine Zidane (2006, France-Italie)

Parce que c’est une finale et parce que ça reste un geste de malade. Et que ça ne sera pas le seul de la soirée.

Vivement 2022. Enfin 2026 plutôt, quand le Qatar nous semblera loin.