Bonjour bonjour mes petits poireaux soufflés !
Alooooors, remis du départ de César ? Prêts à découvrir cet épisode spécial inflation ? Après les économies sur les invités la semaine passée, place aux économies dans le panier ! Nos candidats préférés vont-ils réussir à sublimer les pâtes au beurre et le thon en boite ? On découvre ça tout de suite, zé parti mon maki !
Ok, le monteur est en roue libre
Déjà que quand c’est notre bon vieux Steph qui nous explique les règles, on ne comprend rien, alors si vous commencez à mettre des petits bouts de phrases de chefs qui s’entremêlent, avec une alternance de portrait et d’images de marché, on est VRAIMENT largués. TRANQUILLE, ÇA VIENT DE COMMENCER LES GARS !
Les candidats se plongent dans notre quotidien
Mode gros rat activé. Objectif, bien mangé, en dépensant le moins de thune possible. La vie de n’importe quel étudiant, jeune actif ou juste Français depuis l’inflation, finalement.
On notera une belle lecture dans l’avenir de Jean :
Jean, pendant les courses : « Je suis Auvergnat, si je gagne pas l’épreuve de la radinerie, ça va être compliqué ! »
Stephane deux minutes plus tard : « Le panier le plus cher est celui de Jean. Ça va les goûts de luxe ? ». Oupsie. Les radins d’Auvergne en deuil.
Entre Alexandre et Matthieu, les oranges sont nommés rois des gros rats. On les embrasse. On se sait, les oranges. À l’inverse, les violets sont nommés capitaines des goûts de luxe et se retrouvent directos en épreuve éliminatoire. Tristes, mais le panier plein. C’est toujours ça.
Matthieu comprend enfin les règles
Un panier pas cher, c’est bien. Mais savoir quoi faire avec, c’est mieux. Hein, Mathieu ? JUS DE BOYAU DE SARDINE ??? MAIS ON A DIT PAS CHER, ON A PAS DIT QUE C’ÉTAIT KOH-LANTA ET QU’IL FALLAIT ACCEPTER DE BOUFFER DES INTESTINS POURRIS DE POISSONS, OH !!!
Stéphane a beaucoup compté cette semaine
Notre pauvre Stéphou a répété 3 fois « J’ai fait les comptes » en seulement une demi-heure. Autant être à sa place pour bouffer comme un roi tous les jours, on veut bien, autant si c’est pour se taper des maths et calculs toutes les 10 minutes, on passe notre tour.
En tout cas, la team dessert redistribue les cartes ! Une fois n’est pas coutume, les violets peuvent ENFIN cuisiner. À l’inverse, les oranges se retrouvent pour la première fois sur la touche. Et notre petite brigade bleue passe entre les mailles du filet. Un sacré espadon notre Philou.
Etchebest adore les câlins
Ça se voit, nan ?
Le plat de Mathieu est "minimaliste"
Des frites et de la sardine ? Exactement ce que je mange en fin de mois. C’est où la candidature pour objectif Top Chef, siouplait ? J’ai plein de recettes du genre. Vous avez déjà goûté le thon-mayo, par exemple ?
Les chefs regrettent l’absence de sauce. S’ils savaient que l’idée de base était une sauce aux boyaux de sardine, regretteraient-ils vraiment l’absence de sauce ? Telle est la question.
Immersion pour tous
Si vous voulez goûter le menu inflation, vous pouvez le retrouver sur Uber ! Ah bah oui, le principe de faire des économies niveau bouffe, c’est de se réserver une cagnotte Uber eats (ou autre entreprise de livraison) pour les soirs de flemme. Pas con, hein ? Par contre, écoutez-moi bien, le jour où je tape dans cette cagnotte pour bouffer de la sardine en plat principal et du céleri en dessert, c’est que la fin du monde est proche. Vous l’aurez lu ici en premier.
Entendu ce soir :
Albane : « Ahhhhh, mais c’est le poireau du chef Banctel ! ». Ok Albane, fine connaisseuse du « poireau du chef Banctel », donc ?
On avait jamais remarqué, mais...
Il était bourré le mec qui a collé le sticker sur le four ou quoi ?
Albane est pas au top top de sa forme
Et ça se voit à sa tête. Après… On peut comprendre. Ça fait quand même beaucoup d’épreuves éliminatoires, et une émission entière sans nous parler de vous savez quoi. Allez Albane, ça va le faire. Groot serait triste de te voir triste. OH… WAIT… IL EST PASSÉ OÙ, GROOT ???
Hugo est un petit chou à la crème
Avant de s’intéresser à son épreuve, il se tracasse pour Albane qui est au bout de sa vie. Ses premiers mots ne vont pas à son céleri-rave soufflé, mais à Albane. Trouvez un pote comme ça, qui vous fait toujours passer avant son apiacée (c’est le petit name de la famille des céleris rave, le saviez-vous ?) !
Hugo, c’est un petit chou à la crème, qui sait en plus se fixer des objectifs de vie réalisables : « Je vais prouver que je sais rebondir, et que je sais souffler ». C’est bien Hugo, rebondir c’est un truc qu’on fait quand on apprend à marcher, et souffler quand on respire pour la première fois, mais mieux vaut tard que jamais.
Alex a réussi un soufflé parfait !
Imagine, t’es en épreuve éliminatoire, tu réussis le soufflé par-fait. Dans un élan de fierté, tu l’avales goulûment, en te proclamant roi du soufflé de topinambour, et en te disant que tu vas survoler l’épreuve. Puis tu n’arrives plus à rien souffler. Et le seul soufflé présentable que t’avais, vit sa best life au fond de ton estomac, en plein kiff avec tes enzymes. Ce serait super con, non ?
Ils ont un sacré budget power point chez M6
Preuve en est avec ces petites citations délicieusement (non) bien choisies par candidat, et remise à l’écrit au cas où on aurait manqué la pépite. C’est beau.
Je suis la seule à voir autre chose qu'une mozza soufflée ?
Non ? J’ai l’esprit mal placé ? Pardon.
Dans tous les cas, ce pauvre Léo vautre sa mozza, et part donc sur une solution de repli : la fleur d’oignon. Charmant n’est-ce pas ?
Jérémie et Léo sont en ballotage
Et l’un d’eux va forcément partir. Une nouvelle fois, on a l’oignon entre deux cagettes, parce que nous, on aime bien les deux. C’est relou.
Finalement, et sans surprise au vu de la dégustation, c’est Léo qui part. Il est malheureux comme tout, et il nous brise le cœur. Léo, c’était une petite pâte à choux qui rêvait de finir en pièce montée, mais qui finit le concours en religieuse. Après, c’est déjà bien, une religieuse. Baisse pas les bras mon Léo, fais-toi confiance, et un jour, tu seras la plus belle des pièces montées. Tu nous manques déjà, mais tout n’est pas fini fini… Il te reste encore la cuisine secrète !
Du côté de la cuisine secrète...
Attention, ce paragraphe est simplement un long moment où je me plains. Pour le résumé, allez direct en dessous. Donc : ouais, je fais un point sur la cuisine secrète, parce que je me suis faite remettre en place la semaine dernière, dans les commentaires, en mode « Oué Marie Flé, au lieu de te coucher à 00h00 après Top Chef, tu pourrais au moins veiller jusqu’à 1h du mat’ pour parler aussi de la cuisine secrète gnagnagna ». DONC VOILÀ. JE RESTE. VOUS AUREZ LES 12 LITRES DE CAFÉINE QUI COULERONT DANS MES VEINES DEMAIN SUR LA CONSCIENCE, OK ?
Les fourchettes étant remises à gauche (la version culinaire des « pendules remises à l’heure »), faisons un petit point : Léo affronte le grand Danny, aka le mec qui reste en place et qui sort tous les candidats un par un depuis des semaines. Il se défend bien, mais il oublie de mettre la sauce dans son plat. C’est con. Mais les textures sont là. L’asperge ravit Hélène. On apprend qu’on dit « Cévicheuh » et pas « Céviché ». Hélène lâche des dingueries en mode « Pour une première fois, t’es arrivé à la monter, ce qui est super »…
BREF. Danny est trop fort. Léo n’arrive pas non plus à le détrôner. C’est bien la fin du concours pour la crème des choux à la crème. Et l’aventure se poursuit pour le Roi de la brigade caché, Maitre des fins d’épreuves dans le rush, Grand manitou du « Sheeeeeeeeesh ». Bravo, Danny !
La semaine prochaine, on fait le grand écart : on passe du menu inflation, au menu de Palace et des agriculteurs sympathiques du marché, aux clients relous qui considèrent encore et toujours que le « client est roi ». Deux semaines, deux ambiances. Heureusement, Jean sera là pour nous redonner le sourire en nous parlant du « caleçon porte-bonheur que lui a offert son petit frère, appelé « caleçon président ». ». Y’a rien qui va dans cette phrase, c’est pour ça qu’on l’aime, Jeannot !