Des études en attestent : l’humanité deviendrait de plus en plus conne. Le QI moyen ne cesserait de baisser depuis des années et des années, nous réservant un avenir assez sombre et totalement débile. Mais mais mais mais mais… Je vous assure que c’était pas mieux avant. Y’a qu’à voir comment les mecs s’organisaient pour comprendre qu’on ne perd pas au change de l’évolution.
Le meilleur de Rome
Les Romains partageaient leur papier toilette
En gros, ils disposaient d’une éponge accrochée à une cuiller en bois. Et une fois qu’on avait terminé sa petite affaire, on laissait l’éponge accrochée à la cuiller et au suivant ! Je veux pas dire, mais dans le cadre d’une limitation des épidémies, tout ça tout ça, c’était pas forcément le truc plus malin du monde. De là à dire que l’épidémie de gastro, à Rome, aurait pu décimer l’entièreté de la population en 2 jours, hein…
Des taxes sur l'urine pendant l'époque romaine
Vous savez pourquoi on parle des vespasiennes ? Parce que sous l’emprise de Vespasien, Rome avait instauré une taxe sur l’urine : les Romains devaient refiler une partie de leur urine au percepteur en la stockant. La quantité variait en fonction de l’étendue de la famille, et la pisse récoltée servait à nettoyer les vêtements.
Et vous savez quoi ? C’est complètement con. Stocker de l’urine chez soi, c’est le meilleur moyen pour développer des maladies puantes.
Une autorisation pour se suicider
A Rome, les soldats, les prisonniers et les esclaves n’avaient pas le droit de se flinguer parce qu’on avait quand même besoin qu’ils bossent. Comme toute disposition législative, celle-ci disposait de ses propres dérogations, et il était possible pour les personnes privées de suicide de formuler une demande écrite auprès du Sénat mettant en avant les arguments objectifs plaidant pour leur mort. Si le Sénat souscrivait à la requête, le demandeur recevait une bouteille de poison gratuite. Pratique.
Et vous savez quoi ? C’est le truc le plus débile du monde. Tout l’intérêt du suicide, c’est d’être fait quand on en a envie avec pour seule motivation la sienne. Vous imaginez un peu l’ambiance si c’était comme ça aujourd’hui ?
Nos amis les Grecs anciens
Les Grecs trouvaient trop cool d'avoir un micropénis
Vous savez pourquoi les statues grecques ont toute un micropénis ? Parce que pour les Grecs, c’était symbole d’intelligence. Alors qu’avoir un engin énorme impliquait qu’on soit un être maléfique et totalement obsédé. Comme Priape.
Et vous savez pourquoi c’est complètement débile ? Parce que même si la taille ne compte pas, avoir un pénis de 5cm ce n’est pas rigolo non plus. Et surtout, cela peut être le signe de graves déséquilibres hormonaux qui impliquent des complications encore plus importantes.
Ils avaient peut-être les pyramides, mais à part ça...
70 jours de deuil pour un chat : c'est trop
En Egypte ancienne, quand un chat mourait, ses propriétaires observaient une période de deuil de plus de deux mois, en plus de se raser les sourcils et autres trucs bizarres. Et franchement, autant j’aime bien Mistigri, autant je compte pas me raser les sourcils pour ça.
Et vous savez pourquoi c’est totalement zinzin ? Bah… Je sais pas, imaginez un peu au boulot le problème : « Je peux pas venir bosser pendant 70 jours, mon chat est mort ». A mon avis, ça passerait crème.
Le Moyen-âge, très très moyen
Les mecs étaient nuls en classification d'animaux
Les grimoires médiévaux sont formels : les abeilles n’étaient pas des insectes, mais des petits oiseaux qui passaient leur temps à se faire la guerre entre ruches (ils devaient dire ‘nids’ à l’époque, les cons). Ah et les castors ? Bah c’étaient des poissons. Logique. Un poisson, un castor, même combat. Pratique pour le vendredi saint.
Et vous savez pourquoi c’est le truc le plus stupide jamais entendu sur terre ? J’imagine que vous avez des yeux et que vous savez additionner deux et deux.
Ils étaient aussi assez nuls niveau éducation
Alors là, les apothicaires étaient formels : les enfants n’avaient pas un cerveau normal, le leur était sous-développé. Et c’était pratique, parce que ça les empêchait de ressentir la douleur. Du coup en cas d’opération, pas besoin de les endormir, et on pouvait y aller sur les torgnoles et les travaux des champs vu qu’ils ressentaient rien. Sans compter que, s’ils pleuraient, c’était par caprice.
Et vous savez pourquoi c’est limite criminel ? Parce que vous avez déjà dû tomber par terre à 5 ans et avoir mal, non ?
Quand les animaux étaient condamnés à mort
Les jugements d’animaux étaient fréquents, à l’époque. Des cochons, des chats, tout ça pouvait passer à la potence après délibération populaire. On imagine qu’ils avaient assez peu d’espace pour leur défense. La meilleure histoire est encore celle des chenilles accusées d’avoir sabordé des récoltes en Suisse : intransigeant, le tribunal les a condamnées à l’exil et à l’excommunication. Ca a dû être un choc pour les chenilles.
Mon dieu.
Les mecs pensaient que manger de la viande te transformait en bite sur pattes
Nombreux étaient les évêques du haut Moyen-âge à mettre en garde contre la consommation de la viande, parce que la chair menant à la chair, vous voyez ce que je veux dire ?
Niveau bouffe, les mecs étaient de manière générale assez absurdes. Pour amidonner leurs recettes, ils se basaient sur la théorie des couleurs : en gros, les trucs de même couleur vont bien ensemble. Ou comment se retrouver à manger des fraises tagada dans de la sauce tomate.
La Renaissance de la débilité
Ces débiles reliaient leurs livres avec de l'arsenic
Une université du Danemark s’est récemment rendu compte qu’elle détenait trois livres imbibés (littéralement imbibés) d’arsenic. Ces livres des XVI et XVII° siècles traitaient d’Histoire. C’est qu’à l’époque, l’arsenic était utilisé pour obtenir de l’encre verte, avant que l’on comprenne en trouvant des moines copistes agonisants qu’en fait c’était pas si cool, l’arsenic.
On n’est pas mal lotis.
Sur une idée de Cracked.