Parfois, le street art, c’est tout petit ; et parfois, c’est très très grand. Tellement grand qu’on ne peut pas le voir sans se reculer de 10 bon mètres ou sans l’aide d’un drone. Et dans ce cas, le street art, c’est impressionnant. Surtout, on se demande comment les mecs ont réussi à faire des œuvres de cette ampleur sur la voie publique ; bon, souvent, ce sont des commandes, faut bien le reconnaître.
Ella et Pitr sont deux artistes français. Cette œuvre était située à La Défense histoire de se reposer un peu au milieu du tumulte.
Une oeuvre d’Etam Cru visible à Los Angeles. Quand on parle de cru, on parle aussi évidemment du coq.
Une autre oeuvre d’Etam cru, cette fois-ci à Rome. Pour boire un bon café chaud, le mieux est encore de le trouver dans la poubelle.
L’artiste Millo a peint ce baigneur géant à Turin. Sans doute pour protester contre l’obligation de porter un bonnet de bain à la pistoche.
Entre deux trucs avec Varda, JR fout des tutus sur les murs de New York. Bravo à lui.
L’artiste Kurt Wenner est spécialisé dans les peintures avec une fausse perspective. Ici au Cap en Afrique du Sud.
Fintan Magee a peint cette nana avec de l’Aloe Vera à Sapri, en Italie. Ce n’est pas désagréable de pouvoir voir la fin de la montagne un peu.
Une baleine en perspective d’on ne sait pas trop qui à Zagreb. À peu près à l’échelle 1, on remarquera l’effort.
Un pigeon géant de Stefan Thelen aux Pays-Bas. À noter que je me sens personnellement extrêmement jugé par ce pigeon.
A nouveau Fintan Magee. Ce pauvre gars a l’air au bord du gouffre à porter des containers en forme de grottes.
Un peu de recul, ça peut pas faire de mal.
Source : Huffington Post