L’annonce du grand confinement a incité des milliers de Parisiens à déserter la capitale pour rallier la province. Parce que le confinement est moins pénible au soleil et parce que ces personnes ont surtout pu profiter de leur résidence secondaire ou de se réfugier chez des amis ou de la famille. Mais si Paris figure bel et bien à la première place des villes les plus désertées, c’est loin d’être la seule à s’être vidée d’une partie de ses habitants… C’est ce que prouve l’étude menée par Orange d’après les données récoltées auprès de ses abonnés. Alors oui, cela ne concerne qu’Orange mais c’est tout de même révélateur… Et puis on se doute bien que certains abonnés SFR et Bouygues ont fait pareil hein…

Paris

Plus de 300 000 Parisiens ont donc fait leur valise au début du confinement pour rallier de plus vertes contrées.

Ce contenu n'existe plus

"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Toulouse

C’est pourtant sympa Toulouse non ? Entre 100 000 et 300 000 habitants ont pourtant bel et bien pris la décision de tout quitter pendant le confinement, se répartissant peut-être entre la plage et la campagne.

Grenoble

Entre 100 000 et 300 000 Grenoblois ont aussi déserté leur ville avant le confinement. Toute la région a d’ailleurs massivement réagi. Ce qui est logique car c’est l’une de celles qui est la plus proche de l’Italie.

Lille

Entre 100 000 et 300 000 également. Reste à savoir si ces gens reviendront un jour (c’est pour rire hein, c’est très sympa Lille).

Valence

Valence ou même Chambéry. Pour les mêmes raisons évidentes que dans le cas de Grenoble. Le virus ayant lourdement touché l’Italie avant de vraiment s’installer en France. Orange estime qu’entre 100 000 et 300 000 de ses abonnés ont quitté ces villes.

Montpellier

Assez surprenant de constater qu’entre 50 000 et 100 000 abonnés Orange résidant à Montpellier ont préféré quitter la ville pour passer tranquillou leur confinement ailleurs.

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

Bordeaux

Les Bordelais sont semble-t-il plus fidèles à leur ville que les Toulousains, leurs éternels rivaux. Là encore, entre 50 000 et 100 000 d’entre eux (toujours abonnés à Orange) se sont fait la malle.

Nantes

Même constat pour Nantes. Entre 50 000 et 100 000 personnes ont fui. Au nord ? Au sud ? À l’Est ? À l’Ouest, à la nage, direction le Canada ou les États-Unis. Nul ne sait. Bon voyage ?

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

Rennes

Entre 50 000 et 100 000 aussi. À leur place, j’aurais tenté de me réfugier sur une île. Mais là, en l’occurrence, pas moyen de savoir où ils se sont tirés.

Ce contenu n'existe plus

Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

Strasbourg

On reste dans la même fourchette. Entre 50 000 et 100 000. À peine plus qu’à Nancy, qui est sous la barre des 50 000. On peut donc en déduire que les Strasbourgeois ne sont pas allés à Nancy et inversement.

Il nous manque le temps où on se klaxonnait dessus. Et si vous n’en pouvez plus de cette absence de contact avec le monde extérieur, vous pouvez retrouver nos meilleurs jeux à faire à distance avec vos potes, ou les jeux à faire depuis son balcon avec ses voisins. Ce confinement, sera votre meilleur confinement.

Sources : Orange, Le Figaro