Même en étant la personne la plus honnête du monde, il y a forcément un moment où dans la vie où tu es tenté·e de tricher. Et en général, tu cèdes à la tentation. Que ce soit pour tricher à un contrôle de maths ou pendant une partie de Monopoly, la triche peut arriver sans préméditation et on ne peut même pas s’en empêcher.
Tricher à la pêche aux canards de la fête foraine
À la fête foraine, tous les enfants trop petits pour faire des attractions profitent de la pêche aux canards. Le truc, c’est que les enfants ne sont pas très patients et veulent vraiment gagner un jouet tout de suite. Prendre les canards à la main et les accrocher sur la canne, c’est quand même beaucoup plus rapide.
Tricher en mettant de la colle pour faire tenir les KAPLA
Réussir une pyramide de KAPLA est un exploit incroyable, un peu comme terminer un puzzle géant. On sait bien que le but du jeu est de casser la tour pour pouvoir créer quelque chose de nouveau mais en général, les enfants préfèrent laisser la pyramide au milieu de la chambre pendant des semaines. Pour éviter la chute, on peut même tricher en collant les bouts de bois entre eux. Et après, il faut racheter des KAPLA.
Tricher en rentrant les formules de maths dans sa calculatrice
À quoi ça sert d’acheter une calculatrice à 60 balles si ce n’est pas pour enregistrer tous ses cours dans les programmes ? C’est une tradition d’élèves depuis l’invention de la calculatrice graphique et il est hors de question d’apprendre des formules soi-même. On pense fort aux élèves qui ont du passer leur bac avec la calculatrice en « mode examen »…
Tricher en regardant les cartes accrochées au mur en contrôle de géographie
Un grand classique de l’école primaire : les profs qui oublient de décrocher les cartes du mur avant le début du contrôle de géographie. Alors évidemment, on jette des coups d’œil furtifs pour savoir par où passe la Loire et où placer Metz.
Tricher pour ne pas perdre au Uno
Tricher aux jeux de société est un rite de passage universel pour devenir adulte. Que ce soit au Uno, au Monopoly ou au Jungle Speed, le but est de gagner à tout prix quitte à berner tous les joueurs. Ceux qui disent « l’important c’est de participer/s’amuser », je vous méprise.
Tricher en marchant pendant le 3x500m
Le 3×500 est une méthode de torture appliquée dans tous les collèges et lycées de France (mais que font les ONG ?) depuis des générations. Comme c’est beaucoup trop long et compliqué, le but du jeu est de tricher en passant de la course à la marche dès que le prof a le dos tourné.
Tricher avec Motherlode sur les Sims
Je ne vois même pas l’intérêt de jouer aux Sims sans codes de triche. Tu vas travailler tous les jours pour avoir une maison nulle et prendre le bus au lieu d’avoir une Ferrari… Autant rester dans la réalité. Comme tout le monde connait le code Motherlode, c’est beaucoup plus facile de créer sa maison de rêve.
Tricher en regardant les réponses du sudoku
« Bon, ça fait un moment que je galère sur cahier de jeux, je pourrais peut-être regarder les réponses… Non, je vais y arriver sans aide et tout le monde sera super fier de moi. Peut-être juste UNE réponse, ça mange pas de pain. »
Tricher en donnant la part de galette avec la fève à ton enfant
Si tu es enfant unique, tu as eu la fève de la galette des rois toute ton enfance, c’est évident. En plus de mentir avec leurs histoires de Père-Noël et de petite souris, les parents n’ont aucun mal à tricher pour garantir la meilleure part de galette à leur progéniture. Franchement, c’est pas du jeu.
Tricher sur son âge pour entrer en boite
Si tu habitais une ville avec des boîtes de nuit situées à moins de 20km quand tu étais ado, tu avais sûrement une fausse carte d’identité pour aller groover sur le dance floor. Le videur se doutait bien que tu trichais mais il te laissait quand même entrer, le bon pote.
“Si on ne peut plus tricher avec ses amis, ce n’est plus la peine de jouer aux cartes.” – Marcel Pagnol.