Quand tu as accepté d’avoir un enfant, tu ne savais pas que tu allais pouvoir lui être autant dévoué(e). Tu as vite compris que tu passais après lui, et que, dans tous les cas, c’était lui avant tout le reste. Au point de faire pour lui des trucs un peu chelou.
Lui aspirer sa morve
A l’aide d’un « mouche-bébé », objet de torture bien pratique qui sert à lui aspirer la morve qu’il n’est pas fichu de moucher tout seul, ce gros assisté.
Nettoyer son vomi
Parce qu’un bébé n’a pas souvent la décence de te prévenir quand il s’apprête à te lâcher une énorme gerbe, tu te retrouves à chaque fois les mains dedans, à nettoyer son repas dans ses cheveux, dans son lit, dans le tien, sur ton tee-shirt, partout, tout le temps.
L’allaiter
Ça, tu n’aurais pas pu le faire pour qui que ce soit d’autre que ton rejeton. En même temps, tu te vois allaiter ton mec ? Ou un chaton ? Non, ça, tu ne peux le faire qu’à ton môme.
Utiliser ton propre corps comme bouclier
Ça s’appelle l’instinct parental. Tu préfères être percuté par un bagnole, plutôt que ce soit lui. Tu préfères prendre des coups, plutôt que ce soit lui. En règle générale, tu ne veux que rien de mal ne lui arrive.
Te transformer en bête sauvage
Lorsque tu as un enfant, tu te rends compte qu’on est vraiment des mammifères, avec des instincts primaires et animaux. Tu sais que tu pourrais tuer à mains nues celui qui oserait toucher à un seul de ses cheveux.
Sentir sa couche
Et pouvoir déterminer s’il a fait un gros caca, ou si c’est juste un prout. Mais tu ne fais pas ça à des adultes, n’est-ce pas ? Non, ça c’est réservé qu’à ton môme (et heureusement).
Faire du shopping pour quelqu’un d’autre que toi
Y’a que pour ton bébé que tu es content d’acheter des fringues tout le temps. Avant, tu pensais que le shopping était trop cool parce que tu pouvais t’acheter plein de trucs, maintenant tu es tout aussi content de lui acheter des trucs pour lui.
Le faire passer avant toi
Avant d’avoir un môme, tu étais le propre centre de ta vie. Quand tu avais faim, tu mangeais. Quand tu étais fatigué, tu dormais. Simple. Maintenant, c’est lui avant toi. Tu as faim ? Lui aussi, il mangera avant toi. Il n’a pas envie de dormir ? Toi oui, mais tant pis, ça attendra.
Et toi, c’est quoi les trucs ne fais que pour ton enfant ?