Top 10 des trucs incontournables à voir et à faire à Barcelone, du soleil et des tapas

Le Parc Güell

Sans aucun doute l’un des plus beaux parcs du monde. Preuve incontestable du génie de l’architecte catalan Antoni Gaudí, inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, ce parc adopte les contours naturels du relief et recèle de trésors. Inspiré par les Jardins de la Fontaine à Nice, il se prête merveilleusement bien aux déambulations et appelle à un onirisme que l’on retrouve dans les bancs, les bâtiments et dans les innombrables choses à voir, telle que la célèbre salamandre située au milieu des escaliers face à l’entrée principale.

La Boqueria

C’est par les Ramblas que l’on accède à ce marché en forme d’enclave dédiée à l’épicurisme. Les effluves qui proviennent des nombreuses échoppes, l’ambiance, certes bruyante mais étrangement galvanisante, et les couleurs illustrent en quelque sorte tous ce que l’on est en droit d’attendre de la ville.

La Sagrada Familia

Gaudí n’a pas eu le temps d’achever ce chef-d’œuvre du modernisme catalan mais est néanmoins parvenu à en faire l’un des pôles touristiques majeurs de Barcelone. Majestueuse, la Sagrada Familia est aussi spectaculaire que presque intimidante. Que l’on reste dehors à admirer son apparence si particulière (malgré les échafaudages omniprésents) ou qu’on prenne son courage à deux mains pour affronter l’interminable file d’attente pour y pénétrer. On affirme que si les dons se maintiennent, les travaux pourraient s’achever en 2026.

La Casa Batlló

C’est aussi ce qu’il y a de merveilleux avec Antoni Gaudí : inutile d’entrer dans les bâtiments qu’il a conçus pour en apprécier l’originalité et la beauté. Ainsi, la Casa Batlló s’avère spectaculaire dès lors qu’on se retrouve devant. Même si au fond, il est vivement conseillé de s’offrir une visite. Pièce maîtresse du patrimoine architectural catalan, elle permet de mieux se familiariser avec l’œuvre de son concepteur et d’en apprécier toutes les subtilités.

La Casa Milà

Une autre création de Gaudí auquel Barcelone doit décidément beaucoup. Classée à l’UNESCO, elle fut pensée comme un hôtel particulier et se pose aujourd’hui comme une étape incontournable de tout bon circuit touristique quand on se rend à Barcelone. Objet de moqueries, souvent décriée, la Casa Milà a peut-être eu du mal à obtenir sa légitimité dans les premières années de son existence, mais s’impose désormais comme un véritable trésor national.

Montjuïc

Mis en évidence par les Jeux Olympiques d’été en 1992, Montjuïc domine Barcelone. On peut y trouver la fondation Miró, le célèbre château du même nom, et un circuit automobile. Particulièrement indiqué pour les balades, dans le parc botanique par exemple. Pour y accéder, il est vivement conseillé de prendre le téléphérique du port, le plus vieux de la ville, qui offre une vue à couper le souffle.

Le Barri Gòtic

Une enclave médiévale dans le centre de Barcelone, entièrement dédiée à l’architecture gothique, qui dévoile de nombreux bâtiments remarquables (la Cathédrale Santa Creu, la Chapelle Sainte Agathe…). C’est également là qu’on se doit d’aller quand on veut faire du shopping, tant les petites boutiques y sont légion.

Le Bar Marsela

Le bar le plus ancien de Barcelone dans lequel Hemingway avait ses habitudes. On peut par exemple choisir de l’imiter et d’y déguster un verre d’absinthe en admirant l’intérieur, dont le délabrement relatif, participe à la grandeur. En somme, il s’agit d’un véritable musée dans lequel il est possible de picoler.

Le Musée Picasso

Situé dans le quartier du Born, le Musée Picasso est plus particulièrement dédié aux œuvres de jeunesse de l’artiste. Ce qui est plutôt logique vu que c’est à Barcelone que Picasso passa le début de sa vie d’adulte et exposa ses premières œuvres.
La ville regorge bien sûr de musées et celui-ci fait sans conteste partie des incontournables.

Les Ramblas

Le touriste lambda se rend généralement sur les Ramblas dès qu’il arrive à Barcelone. Disons-le tout net, c’est un peu surfait. Il y a beaucoup de monde, on n’y fait pas les meilleures affaires et les attrape-touristes y sont nombreux. Pour autant, étrangement, il convient néanmoins d’y aller au moins une fois. Entre une dégustation à la Boqueria et une escapade dans le quartier gothique par exemple, ne serait-ce que pour goûter à la frénésie d’une ville aux multiples visages, qui ne dort jamais vraiment.