Infographiste, community manager, chargé de com’, chargé de relations presse, PDG de l’univers… Voilà le genre de choses que l’on fait quand on finit (brillamment) ses études de com’, mais avant ça on en chie (et pas qu’un peu). Découvrez le monde merveilleux des étudiants en info-com’ !
Craner avec notre mac
Outil indispensable dans la vie d’un communicant, l’ordinateur Apple lui permet d’affronter la vie avec confiance. Pour ne pas risquer l’humiliation lors des nombreuses présentations PowerPoint au tableau, évitez le fond d’écran de vous et votre moitié en train de vous donner la becquée. Optez plutôt pour un dessin minimaliste et hyper hype trouvé sur Fubiz.
Utiliser des mots chiants qui impressionnent
Punchline, deadline, brief créa, strat créa, slide, feed back… Si vous croyez un seul instant que l’on comprend ce que veulent dire ces mots, détrompez-vous : on ne les utilise que pour faire comme nos profs.
Attendre des heures à la machine à café
La machine à café sauve la vie de l’étudiant en communication, overbooké, stressé, le mac sous le bras et la tête dans le guidon. Et évidemment cette petite conne prend un malin plaisir à tomber régulièrement en panne (sinon ça serait pas marrant).
Travailler la nuit
Comme beaucoup d’autres, l’étudiant en com anticipe peu. Il est donc souvent débordé et n’a d’autre choix que de finir son travail la nuit, la veille de la deadline (tiens, petite référence au point 2). L’avantage cependant, c’est que les dossiers se font en groupe, et que ça donne une raison de boire quelques canons.
Manger bio, sans gluten et végétarien
Le communicant étudiant ne mange pas au Crous. Non, le communicant mange des salades et des graines. Faut ce qu’il faut s’il veut espérer intégrer une agence dans le vent.
Porter un tote bag
Pas cher, original (quoique), pratique et tendance, le tote bag, sac plastique en tissu amélioré, se marie très bien avec votre rouge à lèvre taupe et vos Stan Smith immaculées.
Chercher un stage
L’élève en info-com’ a plusieurs stages à effectuer. Il connait par cœur le processus : envoi de mails par centaines, entretiens personnalisés et gentils refus. Une belle galère qui lui donne envie de se rouler en boule sous son bureau et de pleurer.
Aller à des afterworks
On se couche pas tard, on mange des tapas, c’est free smoothie et on se fait des « contacts ». Bon, après on se fait quand même plus chier qu’avec 8 litres de bière au PMU du coin.
Des montages à la con
L’étudiant en com’ a souvent un TD où il apprend les rudiments de photoshop. De quoi ruiner le mur Facebook de ses amis pour les 30 années à venir.
Ne pas finir ses études de com'
Le communicant est contradictoire. Il est présent, mais ne sait plus pourquoi il a choisi cette formation-là sur APB, et ne veut pas finir sa vie dans le milieu. Du coup il arrête généralement en cours de route, au profit d’une autre filière tout aussi galère.
Mais en vrai la com’ c’est génial