Après l'élimination de-celui-dont-on-a-déjà-oublié-le-prénom la semaine dernière, le concours reprend ses droits. Dans cet épisode : du noir, de la langoustine, de la bagarre et du CHEF PIÈGE. On a tenté de faire un résumé pour les malheureux qui auraient raté ce grand moment de télé.
- Que manger dans le noir : c'est peu pratique
On l'aime beaucoup cette épreuve de la boite noire et de la dégustation à l'aveugle. Car c'est franchement balèze. Nous on a déjà du mal à reconnaître certains fruits en plein jour alors trouver que ce truc "au gout iodé avec une pointe d'amertume bah c'est forcément de la langoustine" dans une pièce sans lumière, franchement bravo. Et Hélène Darroze qui a peur du noir c'est trop choupi.
- Que personne n'a pensé à laisser Joy Astrid enfermée dans la boite noire.
C'était pourtant si simple.Dommage. - Que la légende Piège est de retour
Alors qu'il était complètement absent la semaine dernière, on a eu du Piège à toutes les sauces en début d'émission et c'était bon. Jean-François est gentil, malicieux et espiègle. On l'aime d'amour. Il pourrait nous préparer du caca sauce caca que ça serait quand même merveilleux car on parle quand même de Piège là hein. Mais non, il prépare des chips à l'ananas et ça a l'air trop bon. - Qu'on a appris une nouvelle expression
"Je me suis senti comme une truite dans une gazette". C'est de Kevin. C'est magnifique, on a eu les larmes aux yeux. - Que les Chefs sont plus forts que les candidats
C'est très surprenant dit donc. - Qu'on commence à s'attacher à certains d'entre eux
Comme Gabriel par exemple, surement le plus humble de la saison (et ça fait du bien), et Thomas qui est un sacré bosseur et semble très sympa (même s'il est roux). Et aussi évidemment, Kevin le gentil simplet et Charles le nounours. En revanche, ça manque toujours un peu de charisme chez les candidates, entre une Sarah très effacée et une Coline qui peine à s'affirmer. Reste Joy Astrid et comment dire. Bon. Hein. - Qu'entre les épreuves Stéphane Rotenberg se fait un peu chier. La preuve :
- Que Pierre Meneau est insupportable
Le mec fout le feu, rate toutes ses épreuves, fait des blagues nulles, prend tout à la légère et continue de penser que c'est lui le meilleur. On n'en peut plus. Petite pensée pour Wilfried à la place de qui on aurait commis un meurtre (oui, c'est mal mais quand même).
- Que Philippe Etchebest est un psychopathe de la victoire
Même un meilleur ouvrier de France peut garder de l'ambition et une envie de gagner des plus incroyables. Enfin non, Etchebest n'a pas envie de gagner, il a envie d'écraser ses concurrents, de danser sur leurs cadavres encore chauds et de rire pendant 1000 ans. C'est ce qui fait son charme si délicat.
- Qu'on s'est globalement un peu fait chier
Après toute la tension de la semaine dernière, le soufflé est vraiment retombé. Pas d'enjeux, pas de grands duels, pas de grands plats non plus. Même le départ de Wilfried, on s'en fout gentiment même si il ne méritait pas de partir si vite. Clairement pas un grand épisode. Allez, ça ira mieux la semaine prochaine.
A la semaine prochaine les cuisinix !