Il paraît que certaines personnes en France n'ont jamais vu la Grande Vadrouille et c'est un vrai miracle étant donné que ce film de Gérard Oury sorti en 1966 a du passer 30 fois en 10 ans de TNT. On y retrouve Bourvil et de Funès incroyable duo comique dans une France occupée par le grand vilain nazi tourné en ridicule. Avant qu'il ne repasse à la TV pour Noël, voilà l'occasion de réviser un peu vos classiques histoire d'épater tout le monde quand vous le regarderez.
- -Ils peuvent me tuer, je parlerai pas !
-Mais moi non plus, ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas !
-Je savais que je pouvais compter sur vous !
Augustin à Stanislas - - You come with me to pick up Peter.
- Non, you, you come with me to pick Mac Hintosh.
- No, you.
- I beg your pardon but I don't understand.
- And if you don't come, I... I... Oh merde alors comment on dit !
- Mais comment ça « merde alors » ! But alors you are french !
- You are not english ?
Augustin et Stanislas aux bains turcs - -If I go to the turkish bath, I risk, I risk énormément.
-Yes.
-But, if you, you go out, si vous sortez, the Germans, les Allemands, ils vont vous attraper vous allez parler, et moi I risk encore plus.
-Yes.
-Donc, I risk on the two tableaux.
-Yes.
-Oui, mais enfin, vous répondez toujours Yes.
-Yes.
Stanislas et Mac Intosh - - Y a pas d'hélice hélas.
- C'est là qu'est l'os !
Augustin à Stanislas - - Évidemment, c’est pas des chaussures pour la marche que vous avez là.
- Puisque vous me le proposez si gentiment, j’accepte.
- Quoi ?
- Que vous me prêtiez vos souliers.
- Bah, vous chaussez du combien ?
- C’est du comme vous.
Augustin à Stanislas - - Are you ?
- You are ?
- Yes, happy.
- Glad. Where is Big Moustache ?
- I don’t know, and if you don’t know, I don’t know, no ?
- I don’t understand.
Augustin à Stanislas - -C'est pas moi ! C'est pas moi !
-Mais c'est moi. C'est moi.
-It's me.
-Oui mais alors c'est moi !
Augustin et Sir Reginald déguisés en officiers allemands se dirigent vers Stanislas pour l'arrêter. - -Poussez, vous !
-Parlez moi sur une autre ton ! Je vous en prie !
-Voulez-vous pousser, maître ?
-Voilà, ça j'aime mieux.
Augustin et Stanislas en pleine panne d'essence - -Vous aimez bien tout ce qui est bon ?
(Il acquiesce.)
- C'est très mauvais !
La mère supérieure à Sir Reginald - -Je suis désolé messieurs mais il va falloir que vous couchiez dans le même lit.
-C'est pas possible !
-Si.
-Dans le même lit !
(Augustin s'en mêle)
-Oh en temps de guerre, vous savez. [...] Ça fait partie des horreurs de la guerre, ça.
-Ah ça va ! Foutez-moi la paix vous !
Mme Germaine, Augustin et Stanislas se répartissent les chambres. - Merci messieurs C'était très bien ! C'était très bien ! [...] Vous c'était bien là-bas. Vous c'était bien ... heu ... c'est comme ci comme ça. Dites moi, vous ! On ne vous a pas entendu, on ne vous entend jamais !
Vous n'arrêtez pas de bavarder, faites attention, faites très attention ! Écoutez, j'ai une conception personnelle de l'ouvrage, ce n'est pas assez triomphal, pas assez orgueilleux, de l'orgueil bon sang ! [...] C'est de la bouillie tout ça ! C'était pas mauvais, c'était très mauvais ! Voilà, exactement ! Alors reprenons au 17 !
Et vous vous préférez laquelle ?
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