Comme vous le savez, à Topito, on aime la science. C’est pourquoi on vous avait déjà récemment parlé des animaux qui pètent alors qu’on pensait pas, un top qui a remué le monde de la biologie de ouf. Aujourd’hui, on reste sur une thématique flatulences avec ce nouveau top scientifique basé sur des études de qualité et surtout de confiance. Car on ne dit jamais assez à quel point le prout tue.
Le pet de vache
C’est le pire de tous les pets. C’est d’ailleurs le plus connu. On parle sans arrêt des pets de vache dont la fermentation libère une quantité très élevée de méthane. Et même que les pets de vache représentent à eux seuls 7 % des gaz à effets de serre (et 14% sont dus à l’agriculture dans sa globalité). Sur un an, les pets d’une seule vache polluent autant qu’un trajet de 400 km en voiture. Dit comme ça, ça paraît peu mais quand on sait qu’il y a 8 millions de vaches en France, ça commence à faire beaucoup.
Le pet de chameau
Eh oui le chameau ne fait pas que rien branler de la journée dans les déserts en beuglant des bruits dégueulasses. Il rote et il pète. Sauf qu’en Australie ça commence à poser problème parce que la population de chameau s’accroît, or pour les scientifiques, les chameaux sont un des plus gros producteurs de dioxyde de carbone au monde avec leurs flatulences. Pour vous faire une idée, si on butait un million de ces péteurs assassins, ça équivaudrait à 300 000 voitures en moins. Bon sinon on peut du coup retirer 300 000 voitures et laisser les chameaux péter tranquille mais ASKIP les Australiens sont pas à donf sur cette option.
Le pet d'éléphant
L’éléphant n’est pas un ruminant. Et pourtant il lâche de ces perlouzes t’imagines même pas. Il produit tellement de méthane avec ses gros pets qu’une journée de prout d’un seul éléphant correspond à 30 km de trajet en voiture. Toutefois, si les gars pètent à longueur de journée, il semblerait que grâce à eux on soit sur la piste d’un biocarburant à partir de leur bouse. Donc ça va on leur pardonne.
Le pet de cheval
Un bel étalon à la crinière de feu et au toupet aguicheur produit en moyenne 20 kg de méthane par an. C’est peu par rapport à une vache, mais c’est quand même beaucoup. En revanche comme on devrait pouvoir produire de l’électricité avec du fumier, on va pas trop la ramener non plus sur le prout d’équidé.
Le pet de kangourou
On aurait pas cru hein ? Bah si. Le kangourou n’est pas qu’un athlète boxeur, il produit aussi du méthane avec ses pets foireux, à peu près autant que les chevaux. Sauf qu’avec son caca, on ne peut pas faire d’électricité donc vraiment le gars sert à rien à par nous casser la gueule bourré en fin de soirée.
Le pet de termites
Alors déjà, vous ne saviez peut-être pas que les termites lâchent des caisses (on avait mentionné cet animal dans la série des animaux qui pètent et qu’on ne savait pas), maintenant si. Mais le termite ne fait pas que péter. Il pète dangereusement. Son système digestif produit en effet plus de méthane que n’importe quel autre être vivant. Mais ouf, c’est également un gros consommateur de matières organiques ce qui en fait un élément à grande valeur écologique malgré ses perlouzes.
Le pet de mouton
Pas étonnant puisque le mouton est un ruminant, et les ruminants, ça pète à tire larigot. En effet, ils digèrent une partie de ce qu’ils ingèrent et le reste fermente dans leur bidon et ça lâche un paquet de méthane au passage. En Nouvelle-Zélande, on a même envisagé un « impôt du pet » comme taxe écologique avant de se rabattre sur une solution génétique visant à purifier le pet des ovins.
Le pet de cochon
Pour vous donner une idée, le cochon lâche tellement de caisses puantes qu’une fois, il est même arrivé qu’un groupe de 135 cochons meurent d’asphyxie par leurs propres pets. Bon en réalité c’est horrible cette histoire, c’est juste que leur porcherie avait un problème de ventilation et les pauvres ont clamsé par manque d’oxygène.
Le pet de chèvre
On a même du évacuer un avion une fois à cause d’un excès de pets de chèvres. La quantité de méthane aurait déclenché les alarmes incendies. Et tout ça est très normal car comme on le sait, les plateaux repas servis dans les avions sont particulièrement indigestes et il va sans dire que les chèvres ont rencontré un grave problème de digestion de leur purée jambon aux petits-pois.
Ma belle-sœur au dernier réveillon
La meuf elle a tellement pété que j’te jure on a du quitté la table ça sentait l’huître en décomposition la vérité on a trop rigolé parce ce que les prouts c’est rigolo même si c’est dangereux.