Avant d’écrire ce top on ne connaissait que le missionnaire et la monogamie. Puis on a un peu cherché ce qui se faisait d’autre partout dans le monde et à tous les âges, et on a découvert plein de trucs. Tout le monde n’a pas les mêmes pratiques sexuelles que nous. C’est fou. Tout le monde ne voit pas le sexe de la même façon. On est trop choqués. Donc on partage ça avec vous, pour que vous aussi vous découvriez les joies de la sexualité sous toutes ses formes. Attention, c’est parfois très chelou.
En Egypte ancienne les hommes se masturbaient dans le Nil
Non, ils n’étaient pas tellement obsédés par le sexe qu’ils ne pouvaient pas s’empêcher de se toucher la nouille dans leur fleuve préféré. En fait, l’activité agricole dépendait totalement de l’eau apportée par le Nil. Et on pensait que quand le Nil était en crue, c’était grâce au dieu Atoum qui se masturbait pour faire pleuvoir (ouais c’est un peu cra cra.) Donc les hommes faisaient comme le dieu, en son honneur, histoire de pas se taper une sécheresse l’année suivante. N’empêche que de les imaginer, là, comme ça, ça fait bizarre.
Au Népal, on pratique la polyandrie fraternelle
Imaginez : vous avez des terres agricoles et vous êtes dans une société patriarcale (allez, imaginez svp.) Si vous avez plusieurs fils, vous allez devoir diviser vos terres pour leur léguer, puis quand ils auront des enfants avec leurs femmes respectives, ça va encore diviser les terrains, etc. Eh bien au Népal, ils ont trouvé la solution. Une femme peut épouser des frères pour éviter l’éparpillement des terres. La femme partage alors son temps entre les frères. Mais les mœurs seraient en train de changer et la polyandrie se ferait moins courante aujourd’hui.
En Grèce antique, la pédérastie était courante
La pédérastie, c’est une relation homosexuelle entre un jeune homme et un homme plus âgé. Et si l’homosexualité entre deux personnes du même âge était un peu étrange aux yeux des Grecs, la pédérastie était acceptée. Mais le problème, c’est que « jeune homme » ça commençait à partir de l’adolescence. En gros, une certaine forme de pédophilie était acceptée. Voilà voilà.
On pratiquait peut-être la zoophilie chez les Cro-Magnons
On a retrouvé des gravures datant d’il y a environ 35000 ans représentant des scènes zoophiles. Ça ne veut pas dire que c’était une pratique courante, ça on n’en sait absolument rien, mais pour que des mecs aient décidé de graver ça à l’époque c’est que ça devait probablement venir de quelque part. Donc oui, y’a au moins un homme de Cro-Magnon qui a fait des trucs dégueu avec un animal. Et si ça tombe c’est un de nos ancêtres.
En Grèce et Rome antique, c'est le petit sexe qui a la cote
Si aujourd’hui la fierté de beaucoup d’hommes est d’avoir une grosse teub, ça n’a pas toujours été valorisé par le passé. En Grèce et en Rome antique, les petits pénis étaient signes de finesse et d’intelligence, alors que les gros représentaient davantage des personnes ridicules et bien trop tournées vers le sexe, justement. C’est notamment pour ça que les statues de l’époque avaient souvent des petits zizis. A l’inverse, on représentait souvent les gros bourrins un peu débiles avec un sexe disproportionné en érection. Aujourd’hui on a compris que ça n’avait peut-être pas de lien de causalité.
Chez les Moso en Chine, la femme pouvait accueillir plusieurs hommes par nuit
Les Moso forment une société matriarcale où les hommes sont beaucoup moins considérés que les femmes. Chez eux, une femme ne pratique pas le sexe avec des hommes de son village, c’est très mal vu (et tout ça a sûrement commencé pour éviter des problèmes de consanguinité.) Vers 13 ans, une fille peut commencer à avoir des rapports sexuels. La nuit, elle laisse sa fenêtre ouverte et les hommes venus d’autres villages peuvent y entrer discrètement pour avoir une relation avec elle. Pendant longtemps, les enfants Moso ne savaient même pas qui étaient leur père, mais depuis les années 50, à cause de l’administration chinoise, c’est devenu obligatoire. On ne juge pas la culture d’autrui, même quand c’est complètement chelou.
Chez les Inuits, on peut prêter sa femme
Chez les Inuits en Arctique, un homme peut prêter sa femme à un invité de passage. Et bien sûr c’est pas juste pour faire dodo l’un contre l’autre. L’invité a le droit de faire zig-zig avec la femme. Ça peut paraître totalement fou de notre point de vue occidental, mais là-bas c’est totalement normal. Franchement, niveau générosité, on n’a rarement vu mieux. A savoir aussi que les Inuits peuvent pratiquer l’échange de conjoints, pendant une durée limitée. Ça permettrait entre autres de renforcer les liens entre les personnes. Pas con.
Les Bashilele au Congo se partageaient une femme
Dans les tribus de cette ethnie, les hommes du même âge et du même village qui ne pouvaient pas se payer une femme seuls s’unissaient pour l’acheter ensemble (dit comme ça, ça paraît logique.) Et ils pouvaient être beaucoup pour un seul achat. Après, ils la chouchoutaient pendant une période qui allait de six mois à deux ans, puis elle en choisissait cinq parmi eux qui devenaient ses vrais maris. En plus de ça elle pouvait quand même coucher avec d’autres hommes du village dans la forêt si elle le voulait. Les Bashilele ne feraient plus ça aujourd’hui, tout se perd.
Au Moyen-Age, on ne devait pratiquer le sexe que pour procréer
En plus de ça, l’utérus de la femme n’était vu que comme un réceptacle à la semence de l’homme. Un peu comme un four qui ne servirait qu’à faire chauffer la pâte à pain. C’est franchement le truc le plus chelou de ce top. On l’a pas mis en numéro 1 pour ne pas trop vous choquer d’entrée, mais il fallait quand même qu’on en parle. Ça fait froid dans le dos.
Au XXIe siècle, les gens choisissent leur partenaire grâce à des programmes informatiques
Ça peut paraître incroyable, mais à cette période de l’Histoire, et dans pas mal de pays, des personnes utilisent des applications (sortes de logiciels qu’ils ouvrent sur leurs téléphones portatifs) pour visionner des profils d’autres personnes et les sélectionner. Si les deux individus se plaisent, ils peuvent alors se rencontrer et s’adonner à des pratiques sexuelles diverses. L’info reste à vérifier mais si c’était vrai, ce serait un truc de malade.
Il y a même des gens qui prendraient du plaisir pendant le sexe. Beurk.
Sources : Franceculture, Nouvelobs, CNRS, Lepoint