Pas spécialement grand mais très peuplé, le Japon possède l’une des densités de population les plus élevées au monde. Pourtant, le pays a su préserver de petits villages, qui jurent avec la modernité des grandes métropoles comme Tokyo et qui proposent aux visiteurs autant de parenthèses où calme et traditions sont les maîtres mots d’un quotidien également rythmé par les balades et autres activités propices aux découvertes.

Nagiso-cho

Un village particulièrement prisé, situé dans la préfecture de Nagano, sur l’île de Honsh?. De nombreux bâtiments de la période Edo ont traversé les âges pour témoigner aujourd’hui et offrir à cet endroit hors du temps un cachet indéniable. Pour faire simple, c’est magnifique.

Shirakawa-Go

Pôle touristique majeur, classé à l’UNESCO, Shirakawa est notamment populaire pour ses 70 superbes maisons dotées de toits de chaume, appelées ici gassro-zukuri. Des battisses remarquablement conservées, parfois transformées en musées.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Nakanoj?-cho Kuni

Dans son écrin de nature, Nakanoj?, que l’on peut trouver dans la préfecture de Gunma, est particulièrement prisé par les artistes et autres écrivains, qui viennent y chercher le calme et l’inspiration. On y vient aussi pour profiter des sources chaudes qui, d’après ce qu’on dit, soigneraient plus de 40 000 maux. Le village qui vibre également au cours de l’année, grâce à plusieurs festivals d’envergure, dont un censé chasser les mauvais esprits (et les oiseaux qui bouffent les récoltes) et un autre dédié à la danse traditionnelle.

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Il n'a pas souffert, promis

Hayakawa-cho

Au centre de Ch?bu, dans la préfecture de Yamanashi, Hayakawa est aussi populaire pour ses sources chaudes. Ses 40 maisons parfaitement harmonisées avec les courbes des montagnes qui les accueillent contribuent au charme du lieu et à la quiétude qu’il encourage.

Yoshino-cho

Le village au 30 000 cerisiers. Ceux-là même qui ont participé à la magie qu’incarne le Japon. Pour les voir bien fleuris, sur le mont Yoshino où ils sont cultivés, c’est début avril qu’il faut se rendre dans ce village en toute logique très apprécié des touristes et des locaux.

Ine-Cho

Plus de 200 funayas, des maisons sur pilotis, composent ce charmant village de pécheurs de la préfecture de Kyoto, au bord de la mer du Japon. Ici aussi, plusieurs festivals rythment la vie du bourg mais au fond, pas besoin d’événement particulier pour profiter de l’atmosphère unique. Le matin, quand les pêcheurs regagnent le port, escortés par les mouettes qui zieutent sur la poiscaille, quand le soleil se lève, entre mer et montagne, la magie opère plutôt deux fois qu’une.

Tsumago

Ici, on ne rigole pas avec l’authenticité. Les voitures sont carrément interdites et on a pris soin d’enterrer les câbles et de cacher au mieux tous les trucs modernes pour ne pas défigurer ce village de l’époque Edo. Et ça fonctionne parce qu’on s’y croirait ! C’est aussi un spot de randonnée très réputé. Forcément touristique, Tsumago propose plusieurs sites d’intérêt, dont les ruines d’un château, un musée ou encore un temple. Un coin incontournable de la préfecture de Nagano !

Taketomi

Ici, on ne rigole pas avec l’authenticité. Les voitures sont carrément interdites et on a pris soin d’enterrer les câbles et de cacher au mieux tous les trucs modernes pour ne pas défigurer ce village de l’époque Edo. Et ça fonctionne parce qu’on s’y croirait ! C’est aussi un spot de randonnée très réputé. Forcément touristique, Tsumago propose plusieurs sites d’intérêt, dont les ruines d’un château, un musée ou encore un temple. Un coin incontournable de la préfecture de Nagano !

Minamioguni-cho

Au pied du Mont Aso, Minamioguni propose également à ses visiteurs de profiter de ses sources d’eau chaude et plus globalement de s’immerger dans une nature bienveillante et généreuse. Dépaysement garanti !

Takayama

Pas un village au sens propre du terme, mais un site exceptionnel, ne serait-ce que parce qu’il a du lui aussi remarquablement se préserver de la modernisation pour conserver son apparence de l’époque d’Edo. Situé entre Tokyo et Kyoto, il propose un saut dans le temps et sait mettre en évidence ses atouts. En avril et en octobre notamment, au moment du festival qui voit débarquer dans les rues un cortège de 23 chars décorés.

Bon, on part quand ?