Vous connaissez des gros FDP ? Je vous parle pas de ceux qui vous dépassent dans la file ou qui vomissent devant votre porte à 5 heures du matin. Je vous parle des vrais gros connards, ceux qui aiment vraiment l’argent, souvent beaucoup plus que le bien-être et la santé de leurs contemporains. Voici quelques petits exemples marquants.
Vendre des potions d'enfants bouillis
Enriqueta Marti, prostituée à Barcelone à la fin du XIXème siècle, avait une activité annexe. Elle vendait des potions magiques capables d’à peu près tout, comme guérir la tuberculose ou améliorer la vie amoureuse. L’ingrédient mystère ? Des enfants kidnappés puis bouillis. Mais en vrai, c’est un cercle vertueux : si ta vie amoureuse va bien, tu peux faire d’autres gosses, et donc d’autres potions. Tout va bien.
Se faire payer pour affamer des bébés
Miyuki Ishikawa, directrice d’un hôpital au Japon pendant la seconde guerre mondiale, cette dame respectable offrait aux parents pauvres de s’occuper de leurs enfants contre une somme d’argent assez faible. Mais cette somme était quand même assez élevée comparé à ce que ça lui coûtait : elle les laissait crever de faim et les parents ne les récupéraient jamais. Elle finit par se faire choper en 1948, et elle écope de 4 ans de prison. Oui, j’ai bien écrit 4 ans de prison.
Vendre du bétail acheté par un SDF avant de le buter
La preuve que le proverbe « la fin justifie les moyens » est l’un des pires trucs de tous les temps, pire encore que les ongles incarnés. Dans les années 1980, le couple Copeland engage des SDF pour une journée, leur créé un compte en banque et les envoie acheter du bétail avec leur compte. Le temps que les banques se rendent compte que les types n’ont pas un rond, elles ne peuvent plus se plaindre vu que les mecs se sont fait buter et enterrer dans la ferme. Un business plan efficace.
Vendre des médicaments contre le cancer dilués
Robert Courtney, pharmacien réputé, père de famille aimant, et bon croyant, était en fait, selon les termes officiels, un « immense fils de pute ». Bien sûr, il avait des circonstances atténuantes : il voulait absolument une grosse voiture. Du coup, il décide de diluer ses médicaments contre le cancer avec de l’eau pour en vendre plus. En tout, c’est plus de 4.200 patients qui l’ont aidé à s’acheter une Mercedes.
Tuer des gens pour les vendre à des pompes funèbres
Dans les années 2000, en Pologne, des médecins et des pompes funèbres ont monté un petit commerce sympa : lorsque des gens meurent, les médecins s’arrangent pour que la famille choisisse une entreprise en particulier pour enterrer le corps, et ils récupèrent en échange une partie du profit. Pas très éthique, déjà. Mais là où ça devient encore un peu plus limite, c’est quand ces chers petits docteurs trouvent qu’il n’y a pas assez de patients qui meurent et qui leur amènent de l’argent. Du coup, ils les aident un peu à mourir. Toujours prêts à rendre service, ces gens ont le cœur sur la main. Karol Banas, l’un d’entre eux, a déclaré : »Je devrais recevoir une médaille de la part du système de santé », preuve qu’il pensait bien faire et qu’il n’agissait pas du tout pour son profit personnel.
Vendre des corps à des universités
Pour construire le canal du Panama, il fallait d’abord construire une ligne de chemin de fer à travers une jungle, qui comportait tout ce qu’une jungle comporte de sympa : des serpents, des insectes, des maladies,… Ce chantier est une véritable hécatombe chez les ouvriers, dont les corps ne sont pas rappelés par les familles car presque tous immigrés. Vu que la compagnie ne savait pas quoi en faire, elle a eu une idée lumineuse : les vendre aux universités les plus offrantes parce qu’il n’y a pas de petit profit.
Vendre la tour Eiffel
En 1927, Victor Lustig, d’origine tchécoslovaque, a une idée de génie en voyant la tour Eiffel toute rouillée et un peu inutile à son avis. Il décide de contacter tous les plus grands ferrailleurs de France pour leur vendre la bonne vieille tour. L’un d’entre eux, probablement le plus malin, sent la bonne affaire et lui donne une énorme commission pour avoir le projet. Le bon Victor en profite alors pour se barrer et ne plus donner de nouvelles.
Vendre des esclaves
Il y a quelques siècles, on avait une bonne excuse : les scientifiques de l’époque avaient assuré que les noirs n’avaient pas d’âme. On ne pouvait pas savoir qu’ils s’étaient trompés. Pas de bol.
Vendre de la roquette
Qui est l’enfoiré qui a déclaré que c’était comestible ? Quel lobby a réussi à la démocratiser ? Ces questions restent à l’heure actuelle sans réponse, mais il est temps de s’élever et de lutter contre cette escroquerie.
Vendre Edinson Cavani
Dire que le Napoli a réussi à en tirer plus de 60 millions…
En espérant que ce top ne vous aura pas trop donné envie de vous lancer dans ce genre de biz.
Source : Cracked