Top 10 des pires émissions de téléralité pour trouver l'amour, quand la télé va trop loin

L'amour est aveugle

On enferme un groupe d’inconnus dans une pièce noire, ils ne peuvent pas se voir. Ils se touchent n’importe où, ils se parlent et à la fin ils se voient. Inutile de signaler qu’ils ne finissent jamais ensemble. La morale de l’histoire ? Le physique compte. On note aussi la participation de cette charmante Nabilla, à l’époque où les anges n’existaient pas.

Next

C’est Tinder version télé. Venu tout droit des Etats-Unis, Next met en scène 5 prétendants cachés dans un camion. Ils iront un par un essayer de séduire le/la candidat(e). Mais à tout moment, celui-ci peut mettre fin au rendez-vous en disant « next » et passer au prétendant suivant. Voilà. C’est con et ça donne des petites perles du style « Ah mais next, t’es roux c’est pas possible ». Sinon chaque prétendant gage 1$ par minute passée et s’il est choisi par le candidat, il peut tout à fait lui foutre un vent pour garder son fric. La version française n’a jamais marché. Merci feu Virgin 17.

Adam recherche Eve

On prend un homme, on prend une femme et on les met à poil sur une île déserte. C’est bien connu, la nudité met tout de suite à l’aise. Donc on essaie de voir s’ils se choppent, sauf que, rebondissement, une autre femme nue est envoyée sur l’île. Tensions, et dilemme cornélien : il devra n’en choisir qu’une. Importée de l’étranger, la version française possède malgré tout une particularité : les parties génitales sont floutées. Vous ne verrez donc pas ces messieurs faire voltiger gaiement leurs organes.

Myriam et les garçons

Un tas de garçons sont mis en compétition pour une bonasse. Sauf que, hé hé, la petite surprise c’est que c’est un transsexuel. Et ça évidemment, ces messieurs ne la savent pas. Que dire de plus ? Il s’agit bien évidemment d’une émission engagée visant à mettre en avant la problématique du genre.

The Littlest Groom

Le concept de bachelor exclusivement réservé aux nains. L’émission n’a pas d’autre intérêt que de se foutre de la gueule des nains, ce qui évidemment n’a rien de scandaleux. Et puis, la vie est tellement plus drôle avec des nains. Hop, tu mets un nain dans Titanic et t’en fais une grande comédie.

I Wanna Marry "Harry"

Le but du jeu est de prendre une bande d’Américaines un peu con-con. On les emmène en Angleterre, pays réputé par sa cuisine et sa télé-réalité de merde. On leur présente un sosie du prince Harry, et toutes ont visiblement du caca dans les yeux car elles vont se battre pour celui qu’elles croient être le véritable prince. Sauf qu’elles se font pigeonner sur toute la ligne.

Who wants to marry my dad ?

C’est bien connu, on a tous horreur de nos belles-mères. Disney le montre si bien. Donc quoi de mieux, pour rencontrer l’amour, que d’utiliser ses enfants ? Le fils ou la fille d’un père célibataire choisiront donc à sa place qui il doit rencontrer. Pratique n’est-ce pas ?

Playing it straight

On met une femme en quête d’amour au milieu d’un troupeau d’hommes bien foutus. Elle n’aura qu’à faire son choix. Mais, vous allez rire, la moitié de ces hommes sont en fait homosexuel. Si elle se met avec un hétéro, elle gagne de l’argent. Si elle choisit un homo, c’est lui qui le garde. AH AH ! On se marre !

More to Love

L’intitulé est « les gros aussi méritent l’amour ». Oui, on avait oublié, l’amour est réservé aux gens beaux et maigres. Cette émission sociale met en avant un groupe de jeunes filles en surpoids qui vont se disputer la main d’un homme, lui aussi, avec une petite surcharge pondérale. Car, évidemment, même si cette télé-réalité rend un service énorme, il faut bien sûr que les gros restent ensemble.

Parental Control

Si vos parents n’aiment pas votre petit copain, il peut faire appel à cette émission. Le concept est simple : ils organisent un casting pour trouver le petit ami de leur enfant. Ensuite ils le présentent à leur fils/fille. De quoi donner des raisons supplémentaires de haïr ses parents.