On est tous d’accord pour dire que Disney survole de loin l’industrie du dessin animé. En revanche, et comme pour tout, il y a des très bons films Disney, des moins bons, et puis… Les pires. Soyons honnête et brisons le tabou : non, Le Roi Lion, c’est pas du tout moderne. Navrée, mais il vaut mieux une vérité qui fait mal, qu’un mensonge qui fait du bien.

Blanche Neige et les Sept Nains

Résumé : une reine égocentrique demande à son miroir qui est la plus belle du royaume, chaque matin. Quand il lui dit que c’est Blanche Neige, elle décide de la buter pour prendre sa place de belle gosse en cheffe. Du coup, Blanche Neige part se cacher dans la maison de 7 nains. Elle dort dans la même chambre qu’eux et passe ses journées à les attendre et à leur faire à bouffer. La reine la retrouve, elle lui fait manger une pomme empoisonnée. Elle tombe dans un sommeil vénère, et un prince vient la réveiller pour l’épouser alors qu’elle n’a rien demandé.

On déteste : l’ambiance glauque, les couleurs anxiogènes et la reine (clairement l’une des pires reines Disney). Ensuite, belle morale que celle de mec qui vont taffer pendant que la petite meuf nettoie la baraque. Enfin, quand on dort, lâcher nous la grappe et laissez nous pioncer. Surtout si c’est pour nous proposer un mariage, comme ça, au réveil, là. Beurk.

Les Aristochats

Résumé : Madame de Bonnefamille établit son testament, et demande à ce que sa fortune aille à ses chats, puis à son majordome quand ses chats seront morts. Du coup, le majordome essaie de buter les chats, pour récolter le pactole avant de mourir lui-même.

On déteste : la vieille. D’où elle lègue toute sa thune à des chats qui ont juste besoin de croquettes pour être heureux, alors qu’un pauvre mec a taffé pour elle toute sa vie ? Et après, on ose venir râler quand des animaux héritent de fortune ? Bah, donnez-nous de meilleurs exemples, hein.

Dumbo

Résumé : un éléphant avec des grosses oreilles se fait bully, jusqu’à ce qu’il découvre que ses oreilles disproportionnées lui permettent de voler.

On déteste : tout. Qui peut s’asseoir à ma table et me dire qu’il existe un Disney plus foiré que celui-là ? Pour faire simple, le dessin animé se résume à des éléphants qui prennent de la drogue, et à des chansons très irritantes. De plus, qui peut se réjouir de voir un éléphant voler ? Quand on voit comment vous chouinez quand un pigeon défèque sur votre épaule, je n’ose même pas imaginer quelle serait votre réaction si cette cagade était celle d’un éléphant volant.

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Il n'a pas souffert, promis

Bambi

Résumé : Bambi, un petit faon, doit survivre seul dans la forêt quand sa mère se fait descendre par des chasseurs.

On déteste : le début. On était là pour se détendre et passer un bon petit moment en famille, et boum : la mère meurt, et on se retrouve tous à chouiner pendant des heures devant des phrases qui foutent le bourdon du genre « L’amour est un chant éternel, il fait tourner le monde », bah super merci les citations Disney.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Le Roi Lion

Résumé : Simba, petit lionceau sans défense (puisque ce n’est pas un éléphant, mdr) est accusé de la mort de son père, Mufasa. Ensuite, il se bat pour récupérer sa place de roi, grâce à son pote suricate et son copain phacochère.

On déteste : : ces 1h30 de contenu hyènophobe totalement déplacé en 2023, des chansons d’une débilité confondante (« l’amour brille sous les étoiles », sérieux…), et surtout une glorification de la monarchie, forçant les animaux de la savane à courber l’échine face à leur prédateur sous peine de mort. On cancel fort.

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Il n'a pas souffert, promis

La Belle et le Clochard

Résumé : une chienne cocker venant d’une famille aisée partage une histoire d’amour avec un chien de classe modeste, vivant dans la rue.

On déteste : cette condescendance sans égal. Ça vous arracherait la tronche de dire « sans-abris » ou « sans domicile fixe » au lieu de « clochard », sérieux ?

La Petite Sirène

Résumé : Ariel, une sirène, tombe in love d’un prince humain, et rêve de vivre sur la terre ferme. La seule solution qu’elle trouve : passer un pacte pas ultra-sain avec Ursula, la méchante la plus stylée de tous les Disney.

On déteste : cette femme-thon qui vole des objets aux humains, et dont le plus grand rêve est d’avoir des pieds, alors que son daron-Triton (une icône LGBT friendly ) lui offre une vie de rêve sous l’océan… Typique du genre de meuf à venir se plaindre sur TPMP, tout en donnant des conseils pour faire de belles photos de pieds et en tirer un max de profit.

Les 101 dalmatiens

Résumé : une vieille meuf superficielle aux allures de riche aigrie du 16ème, kidnappe 101 chiens (dont Perdita, Pongo, et leurs 15 chiots) pour se faire un horrible manteau de fourrure.

On déteste : cette affreuse vieille BCBG, avec son horrible coupe de Marie-Chantal, qui s’installe dans un château en campagne pour faire un élevage illégal de chien de race. Ça dégoute.

La Reine des Neiges

Résumé : après la mort de ses parents, Elsa doit prendre les rênes d’Arendelle. Problème : elle a des pouvoirs magiques un peu relou, et finit par plonger son royaume dans un hiver éternel. Du coup, elle se barre.

On déteste : « Libérée, Délivrée », élu son le plus désagréable pour tous les jeunes parents de France et de Navarre. Oui, dans ce cadre-là, une chanson est capable de bousiller tout un film.

Wall-E

Résumé : le petit robot Wall-E est le dernier survivant de la planète Terre, déserté par les humains 700 ans en arrière. Sa mission : nettoyer la planète, solo. Ensuite, il rencontre une robote sortie de nulle part, et se met à la dragouiller.

On déteste : les dialogues. C’est d’un chiant le langage robotique.

Quitte à briser les mythes, il y a sûrement plein de détails que vous n’aviez jamais regardé dans les Disney !