Il n'y a pas que dans la vraie vie qu'on trouve des hommes très, mais alors très riches. Les personnages de fiction ont eux aussi droit à leurs comptes en banque débordants. Il y a trois manières de gagner de l'argent: honnêtement, malhonnêtement ou en héritant. Dans la fiction, on trouve allègrement des trois comme nous le montre ce classement de Forbes.
- Balthazar Picsou (Disney - Fortune estimée à 900 milliards de dollars) : un patrimoine bâti grâce à ses activités minières et ses chasses au trésor perpétuelles. Et aussi aux oursins qu'il a dans la poche. Dans la famille Picsou, on ne gâche pas. "L'Avare" version Disney.
- Smaug le Doré (Bilbo le Hobbit - 62 milliards de $) : grande figure de l'avarice dans la fiction, l'opulent dragon tient sa "réussite" (bancaire entendons-nous) de larcins et chapardages en tout genre, comme détrousser complètement les Nains de la Terre du milieu. Faire fortune en s'en prenant à des Nains, il y a plus classe.
- Ra's al Ghul (DC Comics - Fortune estimée à 54.1 milliards de dollars) : super-vilain immortel assis sur une montagne de billets et adversaire récurrent de Batman, Ra's al Ghul est à la tête de la Ligue des Assassins, une vaste organisation criminelle mondiale à l'idéologie exterminatrice. Un mec bien quoi.
- Archibald Gripsou (Disney - Fortune estimée à 51.9 milliards de dollars) : comme son grand rival, Picsou, les milliards d'Archibald Gripsou proviennent essentiellement de ses activités minières. Aigri, solitaire et n'hésitant pas à planifier des meurtres pour parvenir à ses fins, le canard dispose d'un capital sympathie bien moindre que son éternel adversaire.
- Carmine Falcone (DC Comics - Fortune estimée à 46 milliards de dollars) : parrain de la mafia à Gotham City, ses revenus proviennent d'activités diverses et illégales. Il s'illustrera notamment en tentant de constituer une alliance avec d'autres super-méchants (Le Chapelier Fou, L'empoisonneuse et L'épouvantail) et découvrira que le crime (organisé) ne paye pas toujours.
- Carlisle Cullen (Twilight - 36.2 milliards de $) : intérêts sur investissements effectués en 1670. Notre homme a 370 ans. Etre vampire, financièrement, c'est la plus mauvaise affaire qui soit.
- Tony Stark (Iron Man - 22.4 milliards de $) : encore un "fils de" ! Tony Stark prospère grâce à une fortune engendrée dans l'industrie de l'armement et de juteux contrats avec l'armée américaine. Ah il est beau le super héros. Il se servira ensuite de cet argent pour faire le bien. Admettons...
- Artemis Fowl II (Artemis Fowl - 13.5 milliards de $) : un gamin de 12 ans au départ de cette série de romans, surdoué et mettant son intelligence au service d'activités illicites telles que le vol et la contrefaçon. De quoi se faire un joli petit capital.
- Jed Clampett (Les Allumés de Beverly Hills - 9.8 milliards de $) : un film américain de 1993 avec le mythe du pauvre à qui la fortune tombe dessus à la suite de découverte de puits de pétrole. Une sorte de JR moderne, avec une conscience.
- Richie Rich (Richie Rich - Harvey Comics - 9.7 milliards de $) : une petite BD assez peu connue en France avec l'auto proclamé "enfant le plus riche du monde", héritage d'une richesse colossale. Son chien a notamment un collier en or (on a dit riche, pas classe). Richie découvrira avec surprise qu'on n'achète pas l'amitié. On parie ?
- Bruce Wayne (Batman - 7 milliards de $) : comme Iron Man, la fortune de super héros sans pouvoir vient de papa décédé. 7 milliards, ça fait combien de Batmobiles ?
- Mr. Monopoly (2.6 milliards de $) : oui il y a un homme derrière le jeu. Vous savez ce petit homme en haut de forme et canne, l'archétype du banquier. C'est donc bien dans l'immobilier que notre célèbre moustachu a fait fortune, dans un jeu censé pourtant montrer "la nature antisociale du monopole".
- Arthur Bach (Arthur, un amour de milliardaire - 1.8 milliards de $) : un héritier de plus dans un film sorti en 2011. Comment tout claquer par amour. Ou pas.
- Jo Bennett (The Office - 1.2 milliards de $) : la CEO de la célèbre compagnie Dunder Mifflin, joué par Kathy Bates. En plus d'être l'une des meilleures séries qui soit, The Office a donc su rendre quelques-uns de ses personnages très riches. Une vraie success story finalement.
- C. Montgomery Burns (Les Simpson - 1.1 milliards de $) : ressources tirées de l'énergie nucléaire, de radineries et recels de bas étage. Etre le personnage le plus vil d'une série mythique n'empêche pas d'être le plus riche, bien au contraire.
- Chuck Bass (Gossip Girl - 1.1 milliards de $) : personnage arrogant, prétentieux, égocentrique, colérique, malgré l'héritage conséquent reçu à la mort de son père. Il faut toujours au moins un "méchant" dans une série, Chuck s'y colle, meme si au fil des épisodes il file vers une douce rédemption monétaire.
- Gordon Gekko (Wall Street - 1.1 milliards de $) : une plongée dans le monde merveilleux des traders de Wall Street aux dents longues. Avant la crise, le bon Gordon, joué par Michael Douglas, avait eu le temps de mettre de côté un bon paquet de pognon, merci pour lui.
- Jeffrey Lebowski (The Big Lebowski - 1 milliard de $) : à côté du merveilleux loser joué par Jeff Bridges et nommé Jeffrey Lebowski, il y a un autre milliardiaire du même nom, vraiment riche et qui n'apprécie pas particulièrement le fameux cocktail "White Russian". Compliqué hein ? Pourtant l'un des meilleurs films des frères Coen.
Source : forbes