Ça va vous êtes bien installés ? Vous passez une bonne journée ? Vous êtes plutôt heureux de vivre ? Eh bien déso, mais on va détruire toute votre bonne humeur avec un top garanti 100 % chialade. Pour cela on vous a fait voter sur les morts les plus tristes des dessins animés et rien que de faire le vote, mes yeux se sont hautement humidifiés alors je ne vous raconte pas le nombre de larmes que j’ai versé pour écrire ce qui suit.
Mufasa (Le Roi Lion)
C’est le premier. Le number one. L’incontournable. Le king de la mort la plus triste, évidemment. J’ai pu remplir une baignoire de larmes en regardant 10 fois d’affilée cette scène atroce. Franchement si Disney voulait nous faire pleurer autant ils auraient carrément pu nous foutre des coups de poings dans le ventre. Même si… entre nous… Mufasa l’avait bien cherché.
La mère de Bambi (Bambi)
De base, rien que la prononciation du nom « Bambi » fait chialer.
Ellie Fredricksen (Là-Haut)
Ce qui est fou c’est qu’on ne la connait pas cette meuf. On nous la colle dans les pattes au début du film, on nous raconte en accéléré une histoire d’amour très longue durée entre le vieux monsieur et cette gentille dame jusqu’à ce qu’à la fin elle ne pousse son dernier soupir dans les bras de son bien aimé. Super. Génial. Ca fait pas 5 minutes que le film a commencé qu’on est déjà en train de vomir de sanglots. Vous vous rendez compte comme c’est déstabilisant pour un enfant de voir ses parents pleurer à chaudes larmes ?
La mère de Petit-Pied (Le Petit Dinosaure et la Vallée des merveilles)
Perso je la mets au moins en ex-aequo avec la mort de la maman de Bambi.
La mère de Rox
ET BIM, dès le générique de début, on voit la maman de ce pauvre Rox se sacrifier pour sauver son enfant et du coup Rox se retrouver tout seul perdu au milieu des bois. Morale de l’histoire : les chasseurs sont des connards et Disney prend un malin plaisir à traumatiser les mômes.
La mère de Koda (Frère des ours)
Sa mort est certainement triste mais elle a le mérite d’apporter une bonne leçon à son assassin puisque c’est en défendant Koda qu’elle tue un chasseur dont le frère se venge en la tuant à son tour. La mère devient ensuite un esprit et son assassin est transformé en ours histoire qu’il pige un peu à quoi ça ressemble la life quand on se fait plomber par des humains.
La mère de Babar
Encore une sombre histoire de chasseur. Globalement, les mères meurent rarement d’un accident de voiture ou d’une maladie longue et incurable. Elles meurent butées par des chasseurs d’une part, et toujours en protégeant leur petit d’autre part.
Corail, la mère de Nemo
A ce stade du top, je pense qu’on peut clairement affirmer que Disney veut buter tout simplement des mères.
Setsuko (Le Tombeau des Lucioles)
Difficile de choisir entre la mort de Setsuko et celle de Seita dans le Tombeau des Lucioles, le film le plus triste de tous les temps. Dans une ville japonaise bombardée en 1945, deux frères et sœurs de retrouvent livrés à eux-mêmes après que leur mère soit morte sous leurs yeux brûlée dans un incendie (et c’est même pas ça le plus triste). Après de nombreuses galères ils tentent de survivre sans nourriture, sans toit et sans parents jusqu’à ce que la mort ne les emporte l’un et l’autre. D’abord la petite sœur de 4 ans, Setsuko, puis son grand frère Seita. Un film golri de ouf.
Marcelino
Marcelino est un petit garçon abandonné recueilli par de gentils moines. Mais Marcelino n’est pas un garçon comme les autres puisqu’il est capable de parler aux animaux. Dans le monastère se trouve un Christ crucifié qui propose au petit garçon de réaliser ses souhaits et comme il veut retrouver sa mère au Paradis. Bah du coup il meurt.
Même les séries comiques arrivent à nous faire pleurer et ça c’est vraiment méchant. Entre Brian qui clamse dans Les Griffin, Edna Krapabelle dans Les Simpson (d’autant plus triste que le personnage a été retiré parce que la comédienne Marcia Wallace, qui lui prêtait sa voix venait elle-même de succomber à un cancer), Seymour dans Futurama, de nombreuses autres morts tristes auraient pu trouver leur place dans ce vote.