Alors oui, je le dis haut et fort : on a tous envie d’épouser Virginie Efira parce qu’en plus d’être incroyablement belle et gentille, elle est extrêmement talentueuse. Preuve en sont les dix films ci-dessous qui sont merveilleux, notamment parce qu’elle joue dedans (et bien en plus). Oui, ça fait beaucoup de compliments mais écoutez, c’est mérité.
20 ans d'écart (2018)
Une bonne comédie pas lourdingue avec un Pierre Niney qui a l’air d’avoir 14 ans et une Virginie Efira trop fraîche en daronne bosseuse qui a peur de se faire juger parce qu’elle date un mec de vingt ans plus jeune qu’elle (en même temps, c’était dans le titre). C’est un oui pour nous.
Revoir Paris (2022)
Accrochez-vous si vous souhaitez mater ce film parce que ça va chialer fort devant la téloche. Il faut dire que Virginie Efira est super juste dans ce film méga touchant sur le stress post-traumatique des victimes des attentats de Paris. Un rôle qui lui a quand même valu le César de la meilleure actrice. Oui, c’est loin d’être dégueu.
Adieu les cons (2020)
Déjà, bravo monsieur Dupontel pour cette tite merveille qui m’a succulée la rétine. Ensuite, bravo à nouveau à Virginie, parce qu’il faut dire qu’elle incarne quand même super bien cette femme malade qui veut plus que tout retrouver le fils qu’elle a abandonné à 15 ans (rôle lui ayant vau une nomination aux Césars). Et enfin, bravo la vie pour m’avoir permis de voir ce chef-d’œuvre.
Benedetta (2021)
Encore une masterclass de la part de Virginie Effira dans ce film où elle incarne une nonne lesbienne dans la France ravagée par la peste du 17e siècle. C’est fort, c’est beau, ça fait vibrer et ça lui a valu d’être nominée aux Césars (oui, encore une fois).
Victoria (2016)
Une super comédie romantique qui n’en a pas trop l’air. Virginie Efira y joue une avocate défendant l’un de ses amis, accusé de tentative de meurtre. Le problème, c’est qu’elle tombe en même temps amoureuse de son baby-sitter, un pti jeunot (en mode 20 ans d’écart vibe). Bref, je conseille sur 10.
En attendant Bojangles (2022)
Un film qui n’a rien à voir avec le fait de poireauter en attendant son pote qui est encore en retard. On y suit la vie d’une famille un peu particulière dans laquelle Virginie Efira incarne la mère un peu chtarbée mais attachante qui tombe malade et bouscule la vie de sa famille à jamais. Pas d’un rhume, évidemment. Beau, touchant, et surtout Efiriantesque.
Elle (2016)
Alors oui, elle n’y joue que le rôle secondaire d’une voisine discrète, puisque c’est Isabelle Huppert qui a le premier rôle, mais quand même. Même les personnages de second plan, elle les incarne bien putain !
Sybil (2019)
Si vous voulez du drame passionnel et du thriller, alors ce film est pour vous. Virgnie Efira y incarne une romancière psychanalyste qui développe une fascination pour l’une de ses patientes. Patiente qui n’est autre qu’Adèle Exarchopoulos, eh oui. Double raison de mater en fait.
Le Grand Bain (2018)
Cette comédie avait beaucoup fait parler d’elle à l’époque, et pour cause : c’était plutôt assez chouette, notamment parce qu’on y voit une Virginie Efira en entraîneuse d’équipe masculine de natation synchronisée qui fume des clopes au-dessus de la piscine. Envie de faire un triple salto arrière depuis un plongeoir un peu trop haut pour l’impressionner en fait.
Un amour impossible
Une superbe adaptation du roman du même nom dans lequel Virginie Efira joue une secrétaire modeste éperdument amoureuse d’un homme riche qui lui met pourtant la misère puisqu’il refuse de l’épouser et de reconnaître leur fille. Mieux qu’un film de Noël en fait (en un peu moins gai mais quand même bien).
On aurait aussi pu parler de Le Goût de Merveilles ou encore de L’Amour et les Forêts, mais notre clavier est déjà trop mouillé de larmes d’admiration qui nous empêchent d’écrire plus.
Sources : Sens Critique, Vogue.