A l’initiative du compte Twitter Popesie, les Internautes se sont déchaînés pour proposer leurs meilleures blagues littéraires de toute l’histoire de l’humanité. Et c’est tellement drôle qu’on en a fait un top tweets. Voilà des blagues que seuls ceux qui prennent le temps de lire un bon bouquin pourront comprendre.

Et sinon on a toujours pour vous une superbe sélection de romans drôles. Parce qu’on aime TROP la littérature en fait c’est trop notre drogue.

Les Rougon-Macquart de l'humour

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Il n'a pas souffert, promis

Je sais pas c'est qui mais trop brillant ce chateau

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Et il attend un gars

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Il n'a pas souffert, promis

Longtemps, je me suis couché de bonne heure pour mieux lire cette vanne au réveil

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

La figure de style en folie

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Il n'a pas souffert, promis

OK j'ai déjà perdu le fil sur les noms de perso

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Et après l'histoire est adaptée au cinéma

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

L'essence de l'hêtre

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

Trop Misérable le keum

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Description de Balzac de tes grands morts là

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

On s'est aussi prêté au jeu

C’est un personnage de Feydeau qui rentre dans un placard.

C’est un personnage de Molière qui a des choses très importantes à partager à son comparse ; il se penche vers lui d’un air grave avant, goguenard, de lui avouer quelque secret d’alcôve. Mais las l’imbécile n’a pas vu qu’il y a un adulte d’1m70 super mal caché derrière un rideau pas du tout assez grand qui écoutait tout.

C’est un personnage de Jules Verne qui entre dans un bar ; en plus de son auguste et intrépide personne, s’y trouvent déjà un nain, six Chinois et douze membres d’un club anglais qui l’y attendent et le mettent au défi de réaliser une prouesse scientifique impensable. Après un périple presque aussi long que le discours positiviste qu’il leur a tenu, il parvient à aller quelque part où on pensait que l’humanité n’irait jamais, repoussant les limites d’un siècle, le XIX° qui a fait basculer le monde dans la modernité.

C’est un personnage d’Amélie Nothomb qui rentre dans un bar pour y rencontrer l’avocat qui va l’aider à changer d’état civil et à poursuivre ses parents pour le prénom de merde qu’ils lui ont filé à la naissance.

C’est un personnage de Modiano ou plutôt non est-ce un personnage, allez savoir c’était il y a si longtemps et je n’ai plus que mes doigts parcourant l’annuaire dans une cabine téléphonique de la porte d’Orléans pour savoir qui il était, pour faire acte de souvenir. Il fuyait, je n’ai jamais su quoi. Son ombre ? Moi, j’étais à la recherche de mon nom et je frayais dans les cafés de la rue Saint-Placide où j’écoutais beaucoup. Il avait commandé une mauresque, je l’avais imité, nous avions discuté, Romantino et moi, dans le hall d’un hôtel que je regagnai à pied du côté de l’Alma.

C’est un personnage de Guy de Maupassant qui entre dans un bar, sa démarche légèrement désabusée témoignant d’un vécu marqué. Les conversations animées des clients forment une toile de fond bruyante, tandis que le personnage cherche un coin tranquille pour se perdre dans ses pensées. Les verres de vin se vident comme des heures qui s’écoulent inexorablement. Les visages fatigués et les sourires forcés cachent des histoires personnelles, des tragédies discrètes qui tissent la trame silencieuse de la vie quotidienne.

C’est un personnage de Jean de La Fontaine qui rentre dans un bar,
Là, il croise un renard, ivre, le regard hagard.
Le renard, un verre de trop, parle sans retenue,
De ses plans rusés, de ses astuces bien connues.

Un corbeau les écoute, perché en hauteur,
Il perçoit la vantardise du renard avec ferveur.
Attendant son moment, le corbeau descend d’un vol,
Et le renard, distrait, se fait dérober son col.

La morale de cette histoire, claire comme le jour,
C’est que l’orgueil et l’ivresse mènent souvent au détour.
Les paroles vantardes peuvent voiler la réalité,
Et l’arrogance se paie parfois de sa propre naïveté.

C’est un personnage de Houellebecq ; le bar, anonyme, respire l’ennui contemporain. Les conversations, stériles, se heurtent aux écrans ; lumières artificielles, échos vides. Un whisky, sec, coule dans le verre, image de l’existence déshydratée. Les visages, tristes, se mélangent dans un flux d’indifférence ; la virtualité s’impose. Solitude, palpable, s’installe à la table. Le personnage, amer, se noie dans cette mer d’anonymat. Chaque gorgée, une fuite illusoire ; les vides restent intacts.

La première L c’était cool. Si cet humour est trop intellectuel pour toi, tu peux retrouver nos meilleures blagues trash et nos jokes de papa ainsi que les meilleures blagues de Noël. C’est un autre univers.

Source (et merci) : PoPésie