Pour la 127ème fois depuis 1990, Dragon Ball Z est rediffusé à la télévision. Et comme toute personne née dans la première moitié des années 1980, vous re-regardez avec nostalgie les épisodes pour la 127ème fois. Et depuis un quart de siècle, les mêmes questions vous taraudent. Il est enfin temps d'avoir des réponses ! Un top destiné à M. Toriyama (mais pas que...)
- Le générique chanté par Ariane Carletti
À côté, même des paroles comme "cha-la head cha-la" semblent dotées d'un sens profond. Si au moins le chant avait été assuré par Dorothée. Ou Bernard Minet. Remarque, même en VO on comprend rien. - Les héros se battent chacun leur tour
Ce serait tellement plus simple de se mettre à cinq sur un seul ennemi et de le reduire en morceaux fumants en moins d'un épisode. L'union fait la force, mais pas dans DBZ. - Les minutes durent des heures
Dans DBZ, le temps se détend de manière irationelle, comme dans un mauvais cours de philosophie au lycée. La destruction de la planète Namek aura lieu dans 5 minutes ? Comptez bien trente-neuf épisodes... - Le personnage de Krilin
Un terrien sans nez entrainé par un homme-tortue plutôt pervers, qui meurt à chaque épisode ou presque pour ressusciter aussi sec, qui reste un enfant alors que tout le monde grandit, qui sait voler et envoyer des boules de feu avec ses mains, et qui finit par avoir un enfant avec une guerrière cyborg... Une seule explication, les drogues dures ont dû être légales au Japon à un moment ou un autre. - La confection des armures de Vegeta
Façon "marcel", maillot sans manches, ou encore armure avec épaulettes et coquilles integrées, extensible en cas de transformation en gorille géant cracheur de feu... Sérieusement, il y a un tailleur pour ça ? De mémoire, on en a jamais vu dans le catalogue des 3 Suisses. - La Terre systématiquement prise pour cible par les méchants qui souhaitent devenir maîtres de l'univers
L'univers, c'est plutôt vaste, alors soit on a vraiment pas de chance, soit on doit le mériter pour une raison obscure. Remarquez, il faut bien commencer quelque-part... - Le dragon multi-fonctions
Un animal légendaire créé par un dieu mortel au physique mi-plante verte mi-escargot et qui apparait quand on réunit des boules de cristal, c'est déjà limite. Mais quand en plus le dragon sus-mentionné parle français et peut exaucer à peu près n'importe quel voeu, ça devient franchement n'importe quoi. Pour un début d'explication, voir le point 4. - La matière des fameuses boules avec lesquelles s'arrosent allègrement tous les protagonistes
Chaud, froid, éléctrique, de feu, solide ou gazeux ? Le mystère reste entier, mais une chose est sûre, si Krilin peut le faire, je dois pouvoir aussi. Et que celui qui n'a jamais essayé de concentrer son énergie dans ses mains pour envoyer un kaméhaméha dévastateur dans son enfance me jette la première pierre. - Les ennemis qui arrivent selon un ordre croissant de puissance
Imaginez un instant que Bou arrive avant Raditz... En même temps, une histoire d'un seul épisode, ça aurait beaucoup moins marché. - Le titre : "Les boules du dragon"
Franchement, il fallait oser.
Tant pis pour les réponses, et vivement la 128ème rediffusion !
Top écrit par Lucien