Il doit parfois arriver, dans la vie d’un graffeur, de se trouver face à un beau mur, bien uni, bombe à la main, et d’être à sec. L’angoisse de la page du mur blanc. Et dans ces cas là, il faut s’en remettre à l’instinct, ou à l’alcool, pour sortir un truc, n’importe quoi. Car un artiste qui se retient de s’exprimer, même pour ne rien dire, c’est un artiste qui meurt. Le tumblr Graffitivre rassemble les tags les plus cons et vides de sens de l’histoire du graffiti, c’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa bombe de peinture.
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