Le kebab, c’est la base. Un aliment qui permet de se sustenter pour une poignée d’euros. C’est bon, on en a pour son argent, et c’est aussi, comme la pizza ou le burger, le genre de truc dont on ne se lasse pas. On raconte que le kebab serait né en Allemagne dans les années 70 quand des restaurateurs turcs commencèrent à le servir à leurs clients. Mais on raconte aussi, en Turquie, que le kebab serait vraiment né au pays, quand, au Moyen-âge, les soldats faisaient griller leur bidoche sur leurs épées. Le terme « kebab » signifiant, en arabe « grillade ». Le döner kebab désigne ainsi une sorte de kebab dont la recette consiste à faire griller la viande verticalement. Le fait que les copeaux de viande se soient retrouvés dans du pain, avec le combo tomate, salade, oignons, remonterait par contre à 1971 toujours en Allemagne. Mais là encore les avis diffèrent… C’est bien joli tout ça mais comment dit-on « kebab » dans différents pays du monde ? Car oui, vous pouvez être à peu près sûr de vous faire comprendre en demandant un kebab. Cependant, il existe parfois des appellations qu’il vaut mieux connaître pour ne pas se retrouver avec un truc qu’on n’a pas commandé…
Döner kebap (Turquie)
Brocheta (Espagne)
Qebap (Albanie)
Kaorou chuan (Chine)
Kebabu (Japon)
Quibe (Portugal)
Kapap unavakankalukku (Sri Lanka, Inde, Malaisie, Singapour et partout où on parle tamoul...)
Kabob (Ouzbékistan)
Kebabas (Lituanie)
Loaadka (Somalie, Éthopie, Kenya...)
On peut aussi essayer toutes les déclinaisons du kebab : le schawarma, le tantuni, le köfte…