On dirait pas comme ça, mais Facebook fait vraiment plein de choses pour nous, notamment nous rendre gros, con, égocentrique, paranoïaque et infidèle. Si vous aviez de folles envies d'indépendance vis-à-vis du réseau social de monsieur Zuckerberg, voilà quelques arguments qui devraient vous empêcher de faire une connerie.
- Facebook pousse au divorce
Réalisée par des chercheurs de l'université de Boston, une étude a démontré que les personnes qui utilisent le réseau social sont plus sujettes à être malheureuses en couple. Se concentrant tout particulièrement sur l'état du Texas, cette étude affirme en effet que 32% des utilisateurs Facebook penseraient au divorce contre 16% chez les non-utilisateurs. - Facebook rend nul en cours
D'après le professeur Larry Rosen de l’Université de Californie, les jeunes qui utiliseraient régulièrement Facebook auraient de gros problèmes de concentration, arrivant à maintenir leur attention à peine trois minutes avant de changer de sujet. Pour les cours, ça complique quand même un poil les choses. - Facebook nuit à notre santé
Ce même Larry Rosen de l’Université de Californie (qui ne porte visiblement pas Mark Zuckerberg dans son cœur) affirme également que Facebook nuit à notre santé émotionnelle et physique. A l'écouter, le réseau social nous pousserait à "la maniaquerie, la paranoïa, aux tendances agressives, aux comportements antisociaux et à la consommation d’alcool". - Facebook nous empêche de trouver du boulot
L'institut américain On Device Research a récemment démontré que 10% des jeunes de 16 à 34 ans s'étaient déjà vus refuser un emploi à cause de leur profil sur les réseaux sociaux (et principalement Facebook). Souvenez-vous en la prochaine fois que vous voudrez mettre en profil picture Facebook cette magnifique photo de vous déguisé en pénis géant. - Facebook fait jouir
Une étude réalisée à Harvard a prouvé que le fait de partager notre vie sur Facebook nous faisait produire davantage de dopamine, nous procurant donc un plaisir semblable à ce que l'on peut ressentir pendant une relation sexuelle. Le degré de jouissance dépendrait ensuite du nombre de fois où nos amis likent ou commentent le fameux statut. Vous savez ce qu'il vous reste à faire si vous ne trouvez pas de plan cul. - Facebook aide à se sentir moins seul
Même si nos amis Facebook ne sont généralement pas nos amis dans la vraie vie (mais juste de vagues copains perdus de vue depuis le CM2), l’Université de Berlin a réussi à prouver que ceux qui postaient régulièrement des photos et des statuts sur Facebook se sentaient moins seuls que ceux qui étaient moins présents sur le réseau social. - Facebook dope notre productivité au travail
Une étude du cabinet KPMG a en effet prouvé que Facebook boostait la productivité des salariés en rendant leurs conditions de travail plus agréables. Pour 86,9% des sondés, Facebook augmenterait leur satisfaction au travail et les pousserait donc à davantage travailler. Vous pouvez désormais passer votre aprem sur Facebook sans culpabiliser. - Facebook rend accro
Au moins 4,5% de ses utilisateurs seraient dépendants selon une étude réalisée par un psychiatre de l'hôpital Esquirol de Limoges. Pour info, pour être considéré comme accro, il faut se connecter à Facebook au moins 11 fois par jour et y passer plus de trois heures dans la journée. Mais ce n'est pas tout : le vrai accro souffre également de grosses crises d'angoisses quand il ne parvient pas à se connecter à internet. - Facebook rend gros
Selon une étude américaine réalisée sur près de 500 personnes, plus on passe de temps sur Facebook à tisser des liens avec des amis virtuels, plus on est gros. Sur l'échantillon choisi pour l'étude, les plus accros à Facebook avaient en effet un IMC autour de 26, alors qu'un IMC "normal" doit être compris entre 18,5 et 24,9. Bon après un échantillon de 500 personnes c'est pas énorme non plus. - Facebook rend narcissique
Réalisée en 2012 par la Western Illinois University, une étude a prouvé que Facebook nous rendait davantage narcissiques, mais aussi que les personnes à tendance narcissique passaient plus de temps que la moyenne a exposer au grand jour leur vie sur les réseaux sociaux. Une conclusion toutefois contredite par une autre étude menée par l'Université de Caroline du Nord selon laquelle ce côté narcissique serait en fait une caractéristique propre aux nouvelles générations d'internautes.
Facebook nuit à votre santé et à celle de votre entourage. Faites-vous aider pour arrêter.