« N’oubliez pas les paroles » existe depuis 15 ans (eh oui ma bonne dame) et pourtant.
Et pourtant ça cartonne toujours autant toute la semaine, sans même parler des primes qui font aussi le bonheur de France 2. Des audiences au top, un Nagui toujours aussi enthousiaste, des candidats au taquet …
Bref, tout va bien.
Tout va bien mais ça reste l’une des émissions les plus chelous du PAF. Voilà pourquoi.
Les chaussures de Nagui.
Nagui change de chaussures à chaque émission, mais à CHAQUE émission : c’est tout bonnement dégueulasse.
Les candidats qui chantent tous mal.
Oui, on est un peu sévères ok : y’en a des biens comme dirait l’autre.
Mais franchement, les 2/3 des candidats chantent faux et c’est une vraie souffrance. Un peu chelou pour une émission de musique quand même …
Le faux public
COVID oblige, il a fallu faire avec.
Du coup, ils se sont dit : TIENS et si on mettait des écrans et des ballons de baudruche pour représenter le public. Le résultat est hyper creepy, rien que pour ça on est content que les restrictions Covid soient allégées …
Christian.
Christian c’est le guitariste de l’émission.
Hyper fort, vraiment. Toujours classe. Toujours pro.
Mais parfois il pète un plomb et va se frotter aux candidats, tu sais pas pourquoi.
Les entrées des candidats.
C’est l’un des meilleurs mais aussi de pires moments de chaque émission : quand les nouveaux candidats font leur entrée sur une chanson de leur choix.
La plupart bégaye, on lit dans leurs yeux « merde mais pourquoi j’ai fait ça bordel » et pendant ce temps-là, Nagui fait un petit sourire ironique. Ils sont très courageux, mais était ce bien nécessaire ?
Les danseurs.
C’est cool de mettre des danseurs, ça met de la vie, ça bouge, c’est fun.
Sauf que les danseurs de NPLP ne dansent pas : ils jouent leurs vies. On dirait qu’ils ont tous pris du café à la cocaïne avant l’enregistrement et du coup, c’est très très angoissant.
Et c’est encore pire quand y’en a qui se chauffent à mort et font des battles de danse devant les candidats qui essayent de se concentrer.
Arrêtez ça.
Les musiciens déguisés.
Au début, c’était rigolo.
Maintenant tu sens que c’est écrit noir sur blanc dans leurs contrats : « tu porteras une perruque de singe dés qu’on chantera Le Gorille de Brassens sous peine de licenciement«
Les chansons.
Même là, les choix sont chelous.
On se tape 99% du répertoire de Michel Berger et de Jean-Jacques Goldmann, et dès qu’il y a des choix un peu différents c’est « La chenille » ou « La digue du cul ».
Bon, écoutez pourquoi pas après tout.
Les déguisements.
Non vraiment, on insiste mais : c’est pas possible.
Le casting.
Y’a pire que l’émission.
Y’a le casting de l’émission.
On dirait une réunion d’alcoolique anonymes : c’est terrifiant.