L’amour est dans le pré, c’est de l’amour avant tout, mais c’est aussi des candidats qui découvrent ou re-découvrent les joies des bisous et des câlins. Et ce qu’on peut remarquer, c’est que ça rend certains d’entre eux tout fous. Ils n’hésitent pas à parler de leurs performances sexuelles devant les caméras, à se rouler des énormes pelles à la télé, voire carrément à se foutre à poil sans aucune pudeur. Et c’est marrant.

Stéphanie et Hervé

Dans la saison de 2021, Hervé avait révélé n’avoir jamais fait l’amour, mais il s’est vite rattrapé après avoir conclu avec Stéphanie qui l’a initié aux joies des galipettes. Les jours suivants, les deux n’ont pas hésité à raconter face caméra qu’ils avaient tellement bien forniqué que le lit avait glissé jusqu’au milieu de la chambre. Un grand moment.

Charles et Véro

Charles a commencé la saison 18 sans recevoir de courrier, mais ce champion a « récupéré » Véro qui avait été écartée par Patrice, et les deux sont très vite tombés in love. Et ils ont aussi très vite affirmé devant les caméras qu’ils faisaient LA CHOSE toute la nuit. Puis quand ils ont pris un cours de natation, au lieu de nager, ils ont décidé de se rouler des pelles dans la piscine devant la prof. Ah, l’amour.

Jean-Claude

Alors qu’il passait un weekend en amoureux avec sa prétendante Yolanda, Jean-Claude a décidé de faire un petit bain de minuit dans les règles de l’art : à poil. Sauf que l’alcool s’en est mêlé et que tout ne s’est pas passé comme prévu, puisque Jean-Claude s’est ramassé la tête en arrière en essayant de rentrer dans le jacuzzi. Heureusement, ses parties ont été floutées. L’honneur est (presque) sauf.

Thierry et Annie

Si on devait nommer les champions de L’Amour est dans le Pré catégorie « baisers gênants », ce serait Thierry et Annie, sans aucune discussion. Les deux se bouffaient la bouche toutes les deux minutes devant les caméras (et derrière aussi on imagine), ce qui était mignon au début puis de plus en plus cringe. Au final, Thierry et Annie nous ont presque donné envie de ne plus jamais embrasser qui que ce soit.

Alain

Alain avait tout pour être heureux avec sa prétendante Marie-Ange, mais l’agriculteur a merdé. Comment ? En insistant lourdement, devant les caméras, pour qu’ils aient des relations sexuelles. Aïe.

Jean et Laurence

Jean et Laurence nous ont offert un des moments les plus cultes de L’amour est dans le pré, et c’était une scène où la pudeur était totalement absente. Oui, on parle bien de la fois où les deux se sont pécho pour la première fois en se roulant une énorme pelle juste sous les yeux de Nathalie, totalement dégoûtée. Mythique, mais tellement impudique.

Éric

Lors de la saison 10, Éric nous avait fait de belles révélations au cours d’un dîner avec ses prétendantes. Selon lui, comme il n’est pas bien monté, s’il prend du bide, il ne se voit plus pisser. Ben merci Éric pour cette belle intervention, mais pas sûr qu’on avait envie de savoir.

Firmin

Dans un autre style, on a Firmin qui dès le premier matin chez Perrine n’hésite pas à se balader en caleçon et à aller poser une pêche sans l’ombre d’une gêne. C’est beau d’être aussi confiant en la vie, mais faut avouer que c’est assez déconcertant pour nous.

Didier et Isabelle

Didier est une des mascottes de l’émission, notamment parce qu’on ne comprend jamais rien de ce qu’il dit, mais aussi parce que son couple avec Isabelle est la preuve que tout le monde peut trouver l’amour. Et les deux se sont bien trouvés puisqu’ils n’hésitent pas à déballer leur vie sexuelle à la téloche. On se rappelle de cette fois au bilan où les deux ont raconté à Karine qu’ils baisaient 2 fois par jour pendant une heure et que c’est pour cette raison que Didier avait perdu du poids. Un moment d’anthologie.

Karine Le Marchand

Bon d’accord, Karine n’est pas une candidate, mais s’il y a bien une personne pour parler de cul toutes les deux minutes, c’est elle, la présentatrice de l’émission. Au moindre mot pouvant avoir un double sens sexuel, Karine est là pour le saisir au vol et rebondir dessus. À ce niveau-là, c’est presque de l’art.

Moi une fois je me suis coincé le petit bout dans la braguette.