On en parlait en mai dernier, de Thierry Beccaro qui arrêtait Motus, et ça y est, c’est fait. C’est fini. Notre chagrin est bien sûr immense, mais il va falloir s’y résoudre. Et pour rendre une dernière fois hommage à l’émission avec les boules noires, on va revenir sur ce qui va le plus nous manquer dans Motus. Bonne continuation Thierry !

La mélodie de la boule noire

Une mélodie unique, précédée d’un bruit de boules qu’on mélange avec ardeur. La boule noire, c’est la déception, la frustration, la défaite, l’envie de tout lâcher. Mais c’est une épreuve qu’il faut savoir affronter. Il faut se relever pour vaincre son adversaire. La boule noire, c’est une métaphore de la vie.

Des moments absurdes, comme le jour où une candidate a pété en pleine partie

On n’a jamais su si c’était un fake ou pas, mais il faut dire que le regard de la candidate vers le côté tombe parfaitement. On est peut-être des gamins, mais ça nous fait toujours autant marrer.

Des candidats qui ont l'esprit mal placé

On les a vus des milliers de fois dans tous les zappings de France : les candidats aiment sortir des mots un peu olé-olé en pleine émission. On sait pas si c’est leur inconscient qui parle sous la pression ou si c’est prémédité, mais ça fait toujours son petit effet.

Des mots qui ne passent pas, alors qu'on aurait vraiment bien aimé

Comment ça « biffler » c’est pas dans le dictionnaire ?

Des candidats un petit peu trop dans le game

C’est clairement les meilleurs. Comme Damien, un mec hyper fort et, surtout, hyper content de gagner.

Regarder Motus quand on était malade (ou au chômage)

Faut avouer qu’on avait peu souvent l’occasion de mater Motus quand on avait cours ou quand on bossait, mais si on devait rester à la maison, on pouvait s’y donner à cœur joie. Qui ici n’a jamais regardé Motus en pyjama dans le canapé des parents ou de mamie parce qu’il avait de la fièvre et qu’il ne pouvait pas aller à l’école ?

Les petits moments de malaise quand Thierry Beccaro partait dans des délires que lui seul comprenait

Par exemple, cette magnifique imitation de Julio Iglesias qui ferait pâlir d’envie un Laurent Gerra au sommet de sa gloire. C’est aussi pour ça qu’on regardait Motus.

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Il n'a pas souffert, promis

Quand Thierry nous a magnifiquement sifflé le générique de l'émission

On a l’impression d’entendre un pinson, ou un colibri. C’est magnifique.

Quand on a fait les bonus de l'été Topito avec ce magnifique jingle directement pompé sur celui de Motus

Et bien sûr, Thierry Beccaro qui nous a arraché une petite larme avec ses adieux

Il nous reste au moins Des chiffres et des lettres.