Vous connaissez déjà par coeur toutes les répliques d’OSS 117 je parie. Mais ce que vous ne savez pas, c’est que lors de ces chefs-d’oeuvre, on a appris pas mal de choses intéressantes sur la vie, la société, la politique, les femmes et bien sur, la cuisine.

Que la blanquette est bonne

Qu'une femme qui éclabousse un homme, c'est un peu comme la rosée d'une matinée de printemps. C'est la promesse d'une belle journée et la perspective d'une soirée enflammée

Que M. René Coty est ton ami, et sera ton porte-bonheur

Et qu’il aime les Cochinchinois, les Malgaches, les Marocains, les Sénégalais.

Qu'une dictature c'est quand les gens sont communistes, déjà, qu'ils ont froid, avec des chapeaux gris et des chaussures à fermeture éclair

Et qu'un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l'information est contrôlée par l'État, c'est la France du général De Gaulle

Que tous les Allemands ne sont pas Nazis, enfin ce n'est qu'une théorie

Qu'une personne qui hurle à mort du haut d'une tour est un muezzin

Que Borge il dit comme Fabre

Et comme Duvernois d’ailleurs.

Que quand quelqu'un ou quelque chose meurt, quelqu'un ou quelque chose naît ailleurs

Que l'aveugle ne voit pas, il ressent, et paradoxalement, il voit

Que quand une femme change d'homme, elle change de coiffure

Qu'il faut laisser pleurer un nourrisson quand il va au lit, sinon on sacralise trop son coucher

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

Qu'il n'y a pas d'amicale d'anciens nazis à Rio

Que pour rencontrer M. Lee, vaut mieux une bonne couverture

Que la France reste le pays des 400 fromages

Que ce sont toujours les nazis qui ont le mauvais rôle

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

Que l'humour juif, c'est quand ce n'est pas rigolo et que ça ne parle pas de saucisse

Que ça ne prenait pas beaucoup plus de temps de faire la tête de canard du pédalo

Que quand c'est long, c'est trop long

Qu'il s'agirait de grandir... il s'agirait de grandir...

Et vous, que vous a appris Hubert Bonisseur de la Bath ?