L’avion est peut-être le moyen de transport le plus sûr qui existe actuellement, mais ce n’est certainement pas le plus clean. Et on ne parle pas ici de son impact écologique catastrophique, mais bien des saloperies que les passagers sont susceptibles de choper à cause des bactéries et des germes planqués ici ou là.
Le sol de l’appareil
Qui est le couillon qui a décidé de mettre de la moquette dans les avions ? Tout le monde sait que c’est galère à nettoyer en plus d’être un nid à bactéries ! Alors qu’un bon vieux carrelage aurait été tellement plus pratique à nettoyer. Par contre, c’est vrai que c’est un peu froid quand on marche dessus en chaussettes ou pieds nus !
La tablette devant vous
Selon une étude de 2015, une tablette dans un avion comporterait en moyenne 20 fois plus de bactéries au centimètre carré que le siège de vos wc ! Une image à garder en tête le prochaine fois que prendrez l’avion et pas seulement au moment de casser la croûte.
Les magazines dans la pochette devant votre siège
Ces revues sont dans le meilleur des cas des parutions mensuelles et donc logiquement remplacées… 1 fois par mois. Bravo champion ! On vous laisse calculer le nombre de doigts dégueulasses qui les ont tripotées avant vous. Sans parler de ceux qui aiment tourner les pages à l’ancienne, en léchant amoureusement leur index pour que le coin des pages collent bien à leur mimine !
La télécommande (ou l’écran tactile)
La télécommande qui se trouve chez vous est crados, mais ce sont les germes de la famille… donc forcément, c’est moins dégueu. Alors que dans un avion, les boutons des télécommandes sont tripotés par des centaines d’inconnus qui y laissent souvent plus que leurs simples empruntes digitales. Idem avec les écrans tactiles.
Le hublot (et son store)
Vous voyez à quoi ressemble la fenêtre passager d’une voiture après un trajet de quelques heures avec un chien ? Dites-vous que le hublot, c’est à peu près la même chose. Tous les passagers ne bavent pas autant, certains ne sont pas aussi poilus, mais entre le sébum laissé par leur visage écrasé contre le hublot, et le gras de leurs cheveux lorsqu’ils dorment la tête appuyée sur la vitre, mieux vaut ne pas trop s’y vautrer.
La boucle de votre ceinture de sécurité
Si votre ceinture de sécurité pouvait parler, elle balancerait toutes les fois où des doigts l’ont tripotée. Mais comme on lui a dit de la boucler, elle a décidé de ne rien dire. La prochaine fois, avant de l’attacher, passez-y un petit coup de lingette ni vu ni connu.
Le siège côté couloir
Certes vous serez en première position pour sortir de l’appareil, ou simplement pour vous dégourdir les jambes pendant le vol sans avoir à déranger vos voisins. Par contre, les sièges côté couloir sont plus exposés aux germes des autres passagers qui vont et viennent à quelques centimètres de votre place. Sans parler des mains qui s’appuient sur votre accoudoir, ou sur votre appui-tête, des culs qui se frottent par inadvertance sur vous en quête d’un peu de place pour circuler.
Le loquet des wc
Ce n’est pas spécifique à l’avion, mais les loquets pour ouvrir et fermer la porte des toilettes est un nid à bactéries. Même si vous vous lavez les mains après votre besogne, elles étaient crades lorsque êtes entré dans les WC et avez verrouillé derrière vous… Multipliez ce manège par le nombre de passagers qui vont aux toilettes pendant un vol, et vous aurez presque envie de faire popo la porte ouverte.
Le bouton pour régler l’air conditionné au dessus de votre tête
Déjà l’air conditionné n’est pas réputé pour être très clean. Il s’agit en effet du même air de l’appareil qui tourne en circuit fermé : une sorte de grand manège pour les bactéries en somme ! Quant au bouton pour régler la ventilation au dessus de votre tête, d’autres avant vous, y ont posé leurs mimines plus ou moins propres.
La pochette de votre siège
Certains appellent ça des vides poches, quand d’autres s’en servent comme poubelle ! Des traces de staphylocoques dorés auraient même été détectées dans ces pochettes, il y a quelques années. L’étude qui a suivi révéla que ces saloperies pouvaient y survivre près de 168 heures, ce qui leur laissait largement le temps d’emmerder le monde !
Allez bon vol !
Source : thedailymeal.com