Techno, techno, techno, tout le monde n’a que ce mot-là à la bouche. La hype ne cesse de durer autour de ce courant « musical » électronique et on va pas vous mentir, nous ça on comprend pas. Parce que c’est vraiment de la merde, ça fait saigner des oreilles et on voit pas bien comment on peut appeler ça de la musique. Ah la la. Triste monde. Triste jeunesse.
C'est juste du boum boum
Hop, un kick de TR-808 en boucle et c’est tout. Eh oh les DJ, vous avez oublié qu’il y avait d’autres instruments que la grosse caisse ? Parce que là on s’emmerde.
C'est simplement un prétexte pour prendre des drogues
Ecsta, coke, keta, GHB… La panoplie parfaite du petit branleur qui se fait des sorties en boîte techno du jeudi au samedi soir, sans oublier les dimanches après-midi en banlieue parisienne dans des afters tout pourris. S’il n’y avait pas la drogue, il n’y aurait pas de techno.
Y'a même pas d'instruments de musique
Des boîtes à rythmes et des synthés dans le meilleurs des cas, sinon on part sur un ordi qui balance des boucles de sons sans intérêt. Y’a des orchestres qui se retournent dans leur tombe.
Y'a zéro refrain et aucun solo de guitare
C’est pas compliqué pourtant de créer une petite mélodie que tout le monde pourrait reprendre en chantant. Et puis structurer une chanson avec une jolie construction en A B A B C B Solo B B fin c’est pas difficile, merde.
C'est une matière enseignée à l'école
Ce génie de l’humour qu’est Kev Adams l’avait déjà fait remarquer, la techno porte le même nom qu’un cours qu’on a au collège. Un cours particulièrement pourri qui plus est.
Ça se la joue underground mais ça va à des festivals à 150 euros le pass
A l’origine, le courant techno se voulait anti-commercial. Ses fans revendiquent souvent cet aspect et aiment se voir différents du reste de la société de consommation. La bonne blague. Aujourd’hui ils vont tous dépenser 180 euros pour aller au Sonus. Sans compter les 20 balles lâchées chaque soirée de week-end rien que pour rentrer dans leurs boîtes préférées.
Tous les disc jockey sont des Allemands au nom imprononçable
Kalkbrenner, Kollektiv Turmstrasse, Dominik Eulberg, Sven Väth… A tes souhaits.
Eiffel 65 et Daddy DJ au moins c'était quelque chose
Une mélodie qui reste bien en tête, de la couleur, des sentiments, c’est tout ce qu’il y avait chez ces deux DJ et qu’on ne retrouve pas dans la techno. Et pas moyen de retrouver une seule boîte qui passe encore du Eiffel 65.
Il faisait des samples Mozart ? Non, j'crois pas...
C’est bien un comportement de connard d’aller chercher des sons faits par d’autres personnes à droite à gauche quand certains se cassent le cul pour créer leur propre musique eux-même.
La moitié ils jouent en playback et ils ne font jamais d'Unplugged
Derrière ses platines ça va bien, mais quand on se retrouve autour d’un feu de camp en été, qui va animer les soirées ? Le branleur qui fait de la techno ou Philippe qui a ramené sa guitare pour nous jouer « Dis-moi Céline » ? Eh ben oui, c’est Philippe.
On dit que c'est de la musique "répétitive", ça veut bien dire que c'est chiant
Depuis quand quelque chose qui est répétitif est censé être bien ? Répétitif = chiant à mourir = crever la gueule ouverte dans sa propre bave. CQFD.
Ça fait aboyer mon chien
Et il a des oreilles, lui.
Techno toujours pourri