Bon, je vais pas vous mentir, j’écris ces lignes en bâillant fortement et en rêvant à ces congés payés qui me tendent les bras en ces journées toutes grises et pluvieuses alors qu’on est début mai, bordel. Venez, on quitte tout et on prend le premier avion qui passe pour aller n’importe où et changer d’air (même à Orléans si vous voulez). Bon, la planète ne sera pas super super contente niveau écologie, je vous le concède. Mais promis, on le fait rien qu’une fois, juste pour traverser une zone de turbulence et entendre les hôtesses de l’air et les stewards nous demander si on veut acheter du parfum pas cher en duty-free.
Passe l'huile de palme
Ptite frayeur
Oui mais c'est pas fastoche fastoche l'orientation, aussi
À ce prix-là, c'est mérité
Il est pour qui le joli hublot ? Il est pour qui ?
Heureusement qu'il y a des gens courageux pour faire ce métier
Laissez-tomber, vous allez tous crever
On vous laisse imaginer pourquoi
Vive le poulet-crudités
Pendant mon vol, je me réveille de ma sieste et un steward marchait dans l'allée avec un chien dans les bras en disant "On a trouvé ce carlin, il est à qui ?". Pendant 3h, on s'est tous relayés pour tenir le mystérieux carlin jusqu'à ce qu'un mec complètement défoncé au fond de l'avion se réveille en disant "Roscoe ?"
Roulez jeunesse
Sounds familiar to me
L'équipage quand tu débarques
Dix minutes après le début de ma sieste dans le vol FlySafaire : "Ici l'équipage de cabine, préparez-vous à l'atterrissage"
Chacun ses priorités
Ben, écoutez, ça m’a donné envie de relire les tweets sur les avions et les tweets drôles sur les aéroports en me faisant dorer la couenne sur la plage, tiens.