La mer c’est dégueulasse, les poissons baisent dedans. Mais la piscine, c’est loin d’être la panacée. Déjà, on en connait qui y forniquent allègrement, et en plus il semblerait que ce soit un repère de microbes et autres bactéries. Pas sûr que vous ayez encore envie de vous baquer après avoir lu ce top.
Une bonne grosse gastro
Le genre de saloperie qui fait bien chier surtout quand on est en vacances. Le virus de la gastro-entérite peut être d’origine alimentaire, mais également vous contaminer dans la piscine, si vous buvez la tasse par exemple.
Une hépatite A
Le virus de l’hépatite A aime tout particulièrement se loger dans les excréments. Et là normalement vous vous demandez comment du caca peut se retrouver dans l’eau de la piscine ? On a bien réfléchi à la question et d’une façon où d’une autre quelqu’un a ramené sa crotte à la pistache (toujours se méfier des traces de pneu et des mains mal lavées…). Par contre, si vous ne vous sentez pas très bien après une journée passée à barboter dans le chlore, pas de panique, ce n’est certainement pas l’hépatite A, car le virus met en moyenne 30 jours pour se manifester.
Une conjonctivite carabinée
Mais si vous savez, cette saloperie qui donne envie de se frotter la rétine avec un grattoir… Eh bien, elle peut s’attraper à la piscine. La faute au chlore et à toutes les substances chimiques censées vous éviter de choper un virus, qui provoquent par frottement des lésions superficielles au niveau des yeux. Suffisamment pour permettre aux virus responsables de la conjonctivite d’infecter vos mirettes. Bien vu !
Une superbe mycose
Vos pieds ne sont déjà pas beaux au naturel, mais avec une mycose chopée à la piscine, vous allez faire fuir tous vos amis podophiles (nom donné aux fétichistes des pieds). La mycose n’est pas due directement à l’eau de la piscine, mais au fait de mal se sécher après la baignade. Pensez donc à bien vous essuyer partout en sortant de l’eau, y compris au niveau des parties intimes : une des principales mycoses que l’on chope à la piscine n’est autre que la mycose vulvaire !
Une verrue plantaire
A force de barboter, votre peau se ramollit et devient plus poreuses aux éventuelles microbes et bactéries sur lesquels vous allez par mégarde poser les pieds. Pour éviter de vous choper une verrue à la piscine, évitez donc au maximum de marcher pieds nus.
La légionellose
Appelée ainsi car considérée à l’origine comme la maladie des légionnaires, cette belle saloperie se caractérise par une infection pulmonaire due à une bactérie (le légionella). Celle-ci peut se planquer dans les canalisations qui alimentent en eau les bassins, mais aussi les douches.
Une saleté de crise d’asthme
Les fortes doses de chlore dans l’eau des piscines peuvent provoquer ou aggraver des crises d’asthme. Une étude scientifique a démontré que les adeptes de la piscine avaient 4 fois plus de risques de développer des crises que le reste de la population.
Une otite dite du baigneur
Si elle touche plus fréquemment les enfants, l’otite du baigneur peut également pourrir la vie des nageurs une fois adultes. C’est l’humidité prolongée au niveau du conduit auditif qui peut permettre à des bactéries, voire des champignons microscopiques, de s’incruster et d’entraîner une inflammation. Pour éviter de vous choper une otite, n’utilisez surtout pas de coton-tige. Laissez plutôt faire le cérumen (le caca d’oreille), qui agirait comme une barrière naturelle.
De l’eczéma
En vérité, vous n’attraperez jamais un eczéma en allant à la piscine puisqu’il s’agit d’une maladie atopique, c’est-à-dire génétique. Par contre, il est prouvé que l’exposition prolongée au chlore est un facteur aggravant. Les sujets à l’eczéma ne sont pas interdits de baignade pour autant, il leur faut juste éviter de se baigner pendant des heures et surtout penser à bien se rincer en sortant.
Une méningite virale
Pas de panique, on ne parle pas ici de la méningite bactérienne qui nécessite une prise en charge rapide pour éviter les complications. La méningite virale quant à elle, reste une belle saloperie qui se propage via les sécrétions nasales et buccales de vos voisins de baignades. La prochaine fois que vous voyez un nageur la morve au bord du pif : fuyez !
Le dernier à la baille, paye son coup !
Source : canalvie.com