Top 10 des points communs entre la ménopause et les petits-enfants

On sait bien que ça a toutes les chances de nous tomber dessus

L’un avec encore plus de certitudes que l’autre, mais grosso modo, ça fait un bail qu’on sait qu’on y passera. Sauf bien sûr si on n’a pas fait d’enfants au préalable et qu’il serait vraiment chelou qu’on se retrouve avec des petits-enfants cachés.

Pourtant, ça arrive souvent quand on s'y attend le moins

Mais quoiqu’il arrive, on a beau savoir que ça va débouler dans nos vies, l’annonce nous laisse toujours pantois. Enfin pantoises le plus souvent.

Ça fait un peu pleurer quand on l'apprend

Ouiiii d’accord, ce n’est pas le même type de larmes mais ça sort du même endroit. On sait pas si on est triste mais en tout cas on est ultra émotives et hypersensibles DONC CA VA VIENS PAS NOUS CHERCHER DES NOISES ON T’A DIT PARDON JE SAIS PAS POURQUOI JE CRIE JE VAIS CHIALER.

Ça donne quelques bouffées de chaleur

D’un côté, ça se passe la nuit, on se réveille en sueurs. Et de l’autre, ça se passe en pleine journée, après avoir enfin réussi à plier la poussette. C’est selon.

Ça peut (éventuellement) provoquer quelques sautes d'humeur

Le trop-plein d’émotions, ça chamboule. Les déséquilibres hormonaux aussi. Ton humeur fait yoyo et _a peut faire un peu flipper ton entourage.

...et aussi pas mal d'insomnies

En même temps, quitte à passer la nuit avec les yeux grands ouverts, autant s’occuper d’un bébé qui pleure, non ? Allez, comme ça on fait d’une pierre deux coups.

Ça rappelle des souvenirs de grossesse, de nourrissons et d'enfance

Ça remue les mémoires et ça nous rappelle, au cas où on l’aurait oublié à quel point le temps passe vite. Et après on pleure parce qu’on est ultra émotives.

C'est un sujet qui revient (souvent) chez notre psy

C’est même parfois la raison pour laquelle on a pris rendez-vous la toute première fois.

Et c'est un sujet de conversation assez récurrent entre copines

Alors qu’avec les copains, on en parle un peu moins bizarrement. C’est sûr qu’ils sont moins réceptifs au concept de bouffées de chaleur. Mais on les aime bien quand même.

Ça donne un petit coup à ta libido

Mais pas un coup de rein, bizarrement. Mais n’enterrons pas tout de suite la hache de guerre, il est encore possible d’avoir une sexualité épanouie post-ménopause et post-petits-enfants, ça demande une petite redécouverte de son corps, c’est tout !