Et c’est pas toujours une bonne nouvelle, parce qu’il y en a certains qu’on aurait aimé voir mourir dans d’atroces souffrances dès la première saison, mais en fait vu qu’ils plaisaient trop au public ou qu’ils étaient les chouchous des réalisateurs, ils ont pu traverser les saisons l’air de rien, tranquilou bilou.
Jesse Pinkman dans Breaking bad
Au départ il devait mourir à la fin de la première saison. Il aurait franchement moins foutu le bordel en clamsant ou en retournant à l’école, mais la série aurait été beaucoup BEAUCOUP moins bonne.
Harry Crane dans Mad Men
Le pauvre chouchou devait se suicider à la fin de la saison 1, en se jetant de l’immeuble de Sterling & Cooper. Une mort franchement pas très joyeuse à laquelle il a échappé de justesse et on l’en félicite.
Steve Urkel dans La Vie de famille
Plus personne ne se souvient d’un seul épisode de La Vie de famille, et pourtant tout le monde se souvient très bien de la si douce voix de Steve Urkel. On peut donc dire que les producteurs auraient fait une grossière erreur s’ils n’avaient pas décidé de garder ce personnage plus longtemps que prévu.
Dana Brody dans Homeland
T’as pas envie de plonger la tête sous un coussin chaque fois qu’elle arrive par-derrière pour faire chier son daron ? La vérité vraie c’est que papounet Brody devait vraiment exploser à la fin de la saison 1 (et donc elle serait morte), mais ils ont préféré exploiter sa relation avec Carrie.
Le Roi Loth dans Kaamelott
Si à la base François Rollin devait simplement être un guest, il n’aura pas fallu longtemps à Alexandre Astier pour se dire qu’il fallait absolument faire de ce grand monsieur un personnage récurent. On le remercie grandement.
Carol dans Walking Dead
Dans le comics elle y passait assez rapidement mais dans la série TV on s’est dit que son côté poivre et sel avait son p’tit charme.
Jack Shepard dans Lost
Il devait mourir au bout du premier épisode. Mais on se demande ce qui se serait passé ensuite et à quoi aurait bien pu ressembler Lost.
Carol dans Urgences
En voilà une autre de Carol qui aurait dû y passer dès l’épisode pilote mais qui en fait est toute pimpante parce que ses bouclettes noires ont bien plu au public. Comme quoi parfois il suffit de pas grand-chose.
Spike dans Buffy contre les vampires
Il aurait dû se faire zigouiller par Buffy au début de la saison 2 mais les fans kiffaient tellement son style « décoloration capillaire maximale so 90’s » que les auteurs l’ont finalement gardé en vie. Bon, faut dire qu’à l’époque on aimait vraiment bien son style « décoloration capillaire maximale so 90’s ».
Andy Dwyer dans Parks and Recreation
Après l’épisode de la jambe cassée et du gros lourd qui ne bouge pas son cul de son canapé, Andy était supposé disparaître de la circulation, mais quand ils ont vu à quel point Chris Pratt était un génie, les scénaristes ont décidé de réécrire entièrement le personnage. Pour notre plus grand bonheur.