Top 10 des bonnes raisons de filer en thalasso cet hiver

Parce qu’il n’y a pas de saison pour se faire papouiller

Enveloppement d’algues, bain et jet hydro massant, massage à 4 mains (au-delà c’est tendancieux)… la thalasso se savoure aussi bien l’hiver que le reste de l’année. Et si tu as peur d’avoir froid, dis-toi qu’il existe des séjours très bien et pas chères dans des destinations comme la Tunisie, où les températures passent rarement en-deçà de 20 degrés.

Parce qu’il y a moins de monde...

Le look peignoir blanc et sandales assorties, avec en prime les cheveux gras après un massage crânien à l’huile de ricin, a de quoi foutre un sacré coup à ton amour-propre. Raison de plus pour partir en plein hiver histoire de limiter le nombre de témoins. Autre avantage, moins il y aura de monde, moins tu devras faire la queue au buffet pour le déjeuner. A toi la razzia sur le poisson et les légumes vapeur !

… ou que des vieux (c’est bien les vieux !)

L’avantage d’être cerné par des personnes âgées pendant son séjour thalasso, c’est qu’on se sent tout de suite beaucoup plus jeune. Tes problèmes de dos comparés à la sciatique carabinée de Madame Michu, c’est de la gnognotte ! Et cette cure de jouvence, il n’y a réellement qu’en hiver que tu peux en profiter. L’été, les centres sont souvent envahies par des jeunes trop bien gaulé(e)s pour ce genre de soins.

Pour se remettre en forme (pendant que les collègues se pètent un ménisque au ski)

Les statistiques sont formelles : il y a nettement moins de blessures musculaires en thalasso que sur les pistes de ski. A part une mycose au pied chopée dans le bassin du parcours aquatique, tu ne risques pas grand-chose !

Pour aider son corps à passer l’hiver

Qui dit thalasso, dit « eau de mer », source de 104 oligo-éléments et minéraux, exactement les mêmes que ceux qui se trouvent dans notre sang. Pour en faire profiter l’organisme, il suffit de faire trempette dans une eau (de mer) supérieure à 34 degrés. De quoi lutter contre les carences saisonnières et passer l’hiver sans encombres.

Pour faire la nique à la dépression saisonnière

Il n’y a pas qu’en météo que l’hiver rime avec dépression. C’est souvent une période où on a juste envie de rien, éventuellement d’un bout de frometon avec des patates et de la charcute… et encore. Pour garder le moral et la forme, rien de telle qu’un séjour en thalasso. D’ailleurs, certaines sont spécialisées dans la gestion des émotions et accessoirement du stress.

Pour récupérer de ton régime raclette des mois d’hiver

On en parlait à l’instant, la raclette fait partie des marronniers incontournables de la saison. La preuve que la vie est bien fichue car ce régime garantit une belle couche de gras idéale pour te protéger du froid. Et quand tu en as marre de traîner tes petits bourrelets capitonnés, tu as le choix entre aller suer dans une salle de sport, ou partir te faire chouchouter en thalasso. Elle est trop dure la vie !

Pour hiberner comme tout le monde

En thalasso, ton corps et ses tensions se relâchent à tel point que tu te transformes en marmotte passé 21h, avec des nuits de plus de 10h sans forcer. En même temps, hiberner en hiver, on fait difficilement plus logique.

Pour payer moins cher son séjour

Le capitalisme a ça de bien que les prix fluctuent selon l’offre et la demande. Et comme en hiver, il y a moins de clients pour les thalassos qu’en été ou au printemps, les prix des séjours sont logiquement au plus bas. Pour trouver les meilleurs rapports qualité/prix, ne pas hésiter à sortir de l’hexagone. Les centres comme les soins sont souvent aussi bons qu’en France pour des prix plus cléments.

Pour ne strictement rien faire

Autant se l’avouer tout de suite, en thalasso, on passe le temps à se faire suer, dans tous les sens du terme. C’est d’ailleurs pour ça que c’est bon ! Vu les températures et la météo hivernale, plus besoin de se trouver une excuse pour ne rien faire de ses journées, à part se faire dorloter, boire des cocktails vitaminés, binger quelques séries, et dévorer les bouquins qu’on n’a autrement jamais le temps de lire.