À partir du 8 octobre, le Grand Palais de Paris propose au public la première exposition rétrospective de l’oeuvre du naturaliste Edward Hopper, peintre des classes moyennes new-yorkaises et témoin des mutations sociales et esthétiques des États-Unis de la première moitié du XXe siècle. Attiré par les réalistes du XIXe siècle davantage que par les cubistes et les surréalistes de son temps, Hopper peint des personnages placés dans un environnement rural ou urbain, qui ne semblent pouvoir échapper à une mélancolie et un isolement récurrent. Le genre de tableau (comme « Noctambules » / « Nighthawks ») que vous avez forcément déjà vu en poster chez un pote. Pour un aperçu de New York et des States au XXe, c’est par ici…
Le bistro (1909)
Intérieur d'été (1909)
Soir Bleu (1914)
Fille à la machine à coudre (1921)
Le restaurant à New-York (1922)
Maison au bord de la voie ferrée (1925)
Automate (1927)
Pharmacie (1927)
Chop Suey (1929)
Autoportrait (1930)
Tôt un dimanche matin (1930)
Chambre à New York (1932)
Cinéma à New York (1939)
Essence (1940)
Noctambules (1942)
Conférence nocturne (1949)
Bureau d'une petite ville (1953)
Gens au soleil (1960)
Bureau à New-York (1962)
Pause (1963)
Et vous, vous préférez Edward Hopper ou Dennis Hopper ?