Top 12 des morts les plus ratées de l'histoire du Cinéma, quand la mort tue le respect

La palme : Marion Cotillard dans "The Dark Knight Rises" de Chistopher Nolan

Une mort qui se passe de commentaire. On en a déjà trop dit. Il faut maintenant faire notre deuil et laisser le talent de Marion Cotillard reposer en paix.

La mort la plus musicale dans "La Clinique sanglante" de Fernando Di Leo

C’est long, mais putain c’est beau. Ça va tellement loin dans l’excès que cette mort en devient majestueuse. Je vous avoue que je suis à deux doigts de la retirer de ce top tant je suis émue.

La mort du caca dans "Jurassic Park" de Jean-Jacques Annaud

Un classique dans les morts les plus ridicules de l’histoire du cinéma, celle de ce pauvre monsieur qui, pris d’un accès de lâcheté est parti de réfugier dans les chiottes abandonnant les enfants au néo-tyrannosaure. Mais rien ne résiste à Gérard le t-rex. La seule question est de savoir si quelqu’un a pensé à tirer la chasse d’eau après.

La mort dégueu de Emil dans "RoboCop" de Paul Verhoeven

Le vilain gros méchant du film à la poursuite d’Alex Murphy se crashe dans une décharge de déchets toxiques, un bon petit bain en perspective qui recouvrira son corps de pustules avant qu’il agonisse dans un long cri douloureux pour tout spectateur qui se respecte.

La sortie martienne qui tourne mal dans "Total Recall" de Paul Verhoeven

Une belle mort qu’on doit à nouveau au réalisateur à qui l’on doit aussi Basic Instinct et Starship Troopers . Dans cette scène prodigieuse, le grand méchant Vilos Cohaagen se retrouve en sortie improvisée sans combinaison sur mars, et ça tourne mal !!!!!!!!!!!

La mort malaisante de Willem Dafoe dans le premier "Spiderman" de Sam Raimi

Pourtant on aime Willem Dafoe. Mais là il a abusé. Et Sam Raimi a abusé aussi.

La première victime de "Cube" de Vincenzo Natali

Un pauvre homme victime d’une « cubification » de son propre corps mais surtout de sa participation à un des plus gros nanard de la décennie.

La mort à portée de glotte dans "Anaconda, le prédateur" de Luis Llosa

Ce grand film n’aura pas laissé derrière lui qu’un mauvais souvenir d’un serpent horriblement mal fait, il aura aussi laissé derrière lui une scène d’anthologie où Jennifer Lopez met environ 27 ans à se défaire de ses chaînes pendant que John Voight se fait engloutir pépouze par l’anaconda en PVC.

La mort à coup de doigts de Jacky Chan dans "Le chinois se déchaîne" de Yuen Woo-ping

Dans une adaptation rocambolesque et jubilatoire, l’acteur incontournable Jacky Chan mène une scène de combat hors norme défiant les lois de la gravité tout en chatouillant une certaine forme de bien-pensance occidentale qui n’a de cesse de vouloir se poser en supérieur hiérarchique de nos cousins asiatiques. Poétique et touchant.

La mort à coup de ballon de basket dans "L'amie mortelle" de Wes Craven

On ne se rend pas compte de la force des objets qui nous entourent… Un ballon de basket ? Oui ça peut tuer et on n’en parle pas assez. Certainement parce qu’il y a un lobby… Les plus grandes entreprises de fabrication de ballons de basket ont sans aucun doute pris possession des médias pour taire ce crime qui tue chaque année plusieurs millions d’acteurs de nanars.

La mort de la carrière de Jean-Hugues Anglade dans "Killing Zoe" de Roger Avary

Beaucoup de balles, beaucoup de sang et beaucoup de souffrance visuelle dans cette mort qui pue la mort.

Globalement, TOUTES les morts de "Destination Finale"

Quand la mort nous joue des tours, on se trouve bien embêté de devoir la fuir. Alors on se fait buter n’importe comment par n’importe quel objet qui représente alors un danger imminent. Cinq films quand même. Ça fait réfléchir.