Si le Dauphiné est aussi apprécié, c’est notamment grâce à ses Sept merveilles. Des sites naturels ou non, localisés dans le département de l’Isère, jamais très loin de Grenoble, qu’il convient de visiter pour saisir la grandeur de cette région au pied des Alpes…
Le mont Aiguille
On raconte que c’est sur cette montagne de 2087 mètres que venaient séjourner les anges ou même Vénus. Un rocher en forme de dent particulièrement apprécié des alpinistes. C’est d’ailleurs le 26 juin 1492 qu’elle fut escaladée pour la première fois par un certain Antoine de Ville.
La fontaine ardente
Un panneau situé au bord de la route, non loin de Vif, indique cette curiosité. Mais qu’en est-il ? La fontaine ardente est donc une source naturelle de gaz qui s’enflamme. Ce n’est pas la seule fontaine de ce genre dans le monde mais cela n’entame en rien son caractère remarquable.
La tour sans venin
Il paraît que cette tour, établie sur la commune de Seyssinet-Pariset, non loin de Grenoble, aurait été un sanctuaire d’Isis. Ce qui expliquerait l’absence de reptiles ou d’araignée. Une chose est sûre : il s’agit du vestige du château de Pariset. Un bâtiment datant du XIIIème siècle.
Les cuves de Sassenage
L’entrée de ce site se trouve au pied du massif du Vercors, au pied d’une grande falaise particulièrement photogénique. Comme souvent, plusieurs légendes sont rattachées à ces grottes. Il paraît qu’à l’instar du Gouffre de Padirac, les cuves de Sassenage cachent une entrée vers l’enfer. La fée Mélusine est aussi souvent mentionnée.
Les grottes de la Balme
Connues pour leurs stalagmites, ces grottes abritent de magnifiques galeries, comme celle du Moine ou celle de François Ier. Un site exceptionnel visité chaque année par plusieurs dizaines de milliers de touristes.
Le Pont Lesdiguière de Claix
Un pont construit en 1611 au-dessus du Drac. Il ferait partie de l’histoire de Mandrin, le célèbre contrebandier français.
La Pierre Percée
Là aussi on parle de légendes. De dragons plus précisément. La Pierre Percée qui serait en fait le fruit de l’érosion. Mais on préfère penser que les dragons sont impliqués, c’est mieux.
Le Gratin dauphinois
Bien sûr, ce plat emblématique mentionné pour la première fois à Gap en 1788, ne fait pas partie des 7 merveilles du Dauphiné. Mais c’est tellement bon, qu’on se devait de lui rendre hommage…
Le Dauphiné, c’est raffiné !