Ah l’été … Kskskskskskssks (c’est le bruit des cigales, je le fait super bien mais à l’écrit c’est pas évident)
Le soleil qui tape, les gigas siestes, les parasols, les cocktails, les barbecues. Et les émissions de merde. Car oui, ça va souvent ensemble. Récentes ou actuelles, les émissions de l’été sont cultes et en général, pas trop prise de tête. Bon hé, c’est les vacances en même temps.
Petit tour d’horizon sur les émissions qui pour nous veulent forcément dire qu’il fait chaud dehors. Ou qu’il pleut comme en ce moment avec ce mois de Juillet pourri mais bon ah ça ma pauvre dame c’est bien vrai y’a plus de saisons enfin bon je vais quand même vous prendre trois courgettes.
Fort Boyard
EVIDEMMENT.
Qui dit été dit Fort Boyard. Et ça, depuis des années. La boule, Passe Partout, Passe Temps, le père Fouras, Blanche et surtout MEGAGAF : tous les personnages sont cultes. On rajoute à ça le somptueux Olivier Mine, les épreuves à la con et quelques invités rigolos et on obtient le programme estival parfait.
Ne déprogrammez jamais cette émission, sinon on fait tous des manifs le lendemain et regardez plutôt ces moments gênants de Fort Boyard.
Ninja Warrior
Plus récent mais tout aussi con : NINJA WARRIOR.
Passez une soirée d’été à regarder des mecs en leggings se fracasser la tête sur des rouleaux qui tournent, une passion.
La carte aux trésors
Anciennement présenté par Sylvain Augier et depuis peu par Cyril « Gossbo » Féraud, l’émission est toujours aussi peu passionnante mais sympathique. Tout est dans le nom quoi, deux candidats dans le trou du cul de la France avec une carte et des indices qui doivent trouver un trésor.
Le meilleur moment c’est quand ils vont emmerder les habitants du coin pour qu’ils les déposent 300 mètres plus loin en voiture. Légendaire.
Intervilles
Un autre énorme classique.
Des vachettes, de la triche, des plateformes en polystyrène, des villes que personne ne connait et une ambiance camping incroyable. Intervilles a régalé nos soirées d’été et restera a tout jamais une émission légendaire.
TOP A LA VACHETTE.
Jeux sans frontières
C’était comme Intervilles, mais sans vachettes.
Les pays européens s’affrontaient durant l’été sur plusieurs matchs et la France était nul.
Oui, comme à l’Euro oui.
L'Île de la tentation
« Alors Jason, qu’est ce que ça vous fait de voir votre femme se frotter et embrasser langoureusement 14 hommes à moitié nu alors que vous vous étiez juré fidélité ? Vous êtes déçu Jason ? Dites-le à la caméra que vous êtes déçu. »
On exagère à peine, c’était à peu près ça à chaque épisode. Des cheptels entiers de débiles qui devaient séduire des couples qui en fait n’étaient pas vraiment des couples. C’était vraiment nul, mais qu’est-ce que c’était bien.
L'Été de tous les records
Sûrement l’une des émissions les plus bêtes de ce top, et donc parfaitement génial.
Pendant près de 10 ans, Pierre Sled et le juge Barry White (pas le vrai, malheureusement) étaient les animateurs de ce chef d’œuvre. Le but était très simple : battre les records du Guiness book. Sauf que les records du Guiness Book sont en générale totalement éclatés.
Ce qui amenait donc des journées entières à regarder des mecs battre le record du monde de lancer de charentaises en slip. On n’a jamais fait mieux.
Village Départ
Il faut bien l’avouer : le Tour de France, on s’en fout pas mal.
Par contre « Village départ », ça oui. Avant chaque étape, Laurent Luyat qui interviewe le boucher charcutier du bled en question, c’est indispensable. Une émission qui sent le ricard et le bob cochonou ne peut être qu’une bonne émission.
Loft Story
Est il encore besoin de présenter Loft Story.
Tout les samedis soirs de Juillet : on était là.
Quand Loana s’est faite larguer : on était là.
Quand Laure a dit « j’vais te pépom » : on était là.
Quand Kamel connaissait pas le thym : on était là.
Ça nous manquerait presque …
40 degrés à l'ombre
Sûrement l’émission qui caractérise le mieux l’été. La dream team Vincent Perrot, Thierry Beccaro et Marie-Ange Nardi qui chillent sur la plage, avec invités et cocktails. En toute détente.
Sans oublier la mythique chronique animalière de Jacques Gourrier, dont la particularité était d’avoir peur de chaque animal existant.
Bref, un petite parenthèse estivale qui faisait du bien, et qu’on aimerait volontiers revoir d’une manière ou d’une autre.