Un débat palpitant : la création d'un nouveau label, "fait maison", au cahier des charges étrange ("la décongélation est faite maison") mais qui doit permettre aux consommateurs de séparer le bon grain de l'ivraie dans l'offre des restaurateurs, pas toujours bien attentionnés. Donc dans l'absolu, c'est super ce sticker. Mais pourquoi s'arrêter là? Pourquoi ne pas créer encore plus de labels pour que le client sache, en un regard sur la vitrine, où il met les pieds.
Le logo fait maison, ça, c'est fait :

D'autres stickers qui auraient de l'allure :
- Le label "sécurité alimentaire"
Pour les restaurants qui ne tuent personne pendant quelques joursMontage photo : Topito - Le label "Ami des stars"
Pour les restaurants qui ont servi à bouffer à une vedette, même y'a longtempsMontage photo : Topito - Le label "Regardez qui vous mangez"
Pour les restaurant qui misent sur la traçabilité totaleMontage photo : Topito - Le label "authentique nippon"
Pour les restaurant japonais qui ne sont pas tenus par des ChinoisMontage photo : Topito - Le label "Chef"
Pour les restaurants de kebab où le patron t'appelle "Chef"Montage photo : Topito - Le label "vu à la télé"
Pour les restaurants où on "part sur une omelette" et où on "revisite des trucs"Montage photo : Topito - Le label "monnaie virtuelle"
Pour les restaurants qui prennent les chèques déjeuners, mais pas que.Montage photo : Topito - Le label "wifi"
Pour les restaurants où on peut poster des photos de bouffe sur InstagramMontage photo : Topito - Le label "on ne se la raconte pas"
Pour les restaurants qui proposent des sandwichs au pâté et des œufs durs.Montage photo : Topito
La transparence, c'est l'affaire de quelques stickers.