Top 10 des meilleurs jeux vidéo de tous les temps

Il est évident que si les mots « Nintendo 64 », « Super Nintendo », « Megadrive », « Atari » et « sauvegarde, ne pas toucher au bouton power » ne vous disent rien, il vous manque quelque chose de crucial dans votre vie: les jeux vidéo. Quel plaisir de tripoter ces jolis boutons qui pour une fois ne sont pas sur le front de votre bien aimé(e)… Des premiers jeux en 2D aux couleurs indexées, aux musiques à 16bits, aux premières consoles 3D, les plus grandes firmes de jeux vidéo nous ont offert une série de petits bijoux à ne pas rater. Pour s’y retrouver parmi toutes ces merveilles, le site Filibustergames a réuni plus de 40 classements de magazines, émissions et journaux spécialisés pour déterminer quel était LE meilleur jeu de tous les temps, celui acclamé par toutes les critiques. Alors on évite de dire que « tous les jeux vidéo de la terre sont tellement bien que j’en ai même arrêté d’avoir une vie sociale » et on se concentre juste sur le top du top.

Legend of Zelda: Ocarina of Time (Nintendo 64, 1998)

Officiellement le seul jeu au monde où jouer de l’ocarina vous permettra de choper tour à tour une kokiri, une zora, une princesse, un goron et un cheval. Pas étonnant qu’il soit en première position.

Super Mario 64 (Nintendo 64, 1996)

« Wooh!« , « Yah!« , « Yipeee!« , ces trois onomatopées résonnent en vous comme une vieille rengaine depuis que vous avez appris le triple saut périlleux 180° à Mario. Quelqu’un a-t-il déjà eu les 120 étoiles?

Tetris (Multiples Plateformes, 1984)

Une brique, plus une brique, plus deux autres briques, et voilà une ligne de faite, après Mario plombier, Tetris maçon, on se croirait presque dans « Tous ensemble ». On a dit presque.

Goldeneye 007 (Nintendo 64, 1997)

Premier jeu à la première personne du classement (bien que ce soit une hérésie, on aurait vu Pierce Brosnan tout au long du jeu, je peux vous dire que la gente féminine aurait peut être fait plus attention à ce petit bijou!), Goldeneye 007 est un des seuls James Bond à avoir su être adapté en jeu vidéo. Des missions explosives, une montre multifonction, rien que d’en parler j’ai envie d’y rejouer.

Legend of Zelda: A Link to the Past (Super Nintendo, 1991)

Nintendo revient, ou plutôt, est déjà venu, avec cet autre opus de la saga Zelda. Cette fois pas de 3D bien sûr, mais un jeu sur NES qui aura le mérite de s’être vendu à 4,6 millions d’exemplaires. Nous on pense que le succès revient à la mèche rose de Link. Rappelez-vous, il a des relations ambigües avec un goron.

Final Fantasy VII (Playstation, 1997)

Le jeu le plus récent du classement. La playstation a eu la série Final Fantasy, et c’est très probablement ce qui lui est arrivé de mieux. Graphismes à couper le souffle, combats innovants et durée de vie quasiment illimitée: succès mérité.

Super Mario World (Super Nintendo, 1990)

Nintendo n’arrêtera donc jamais sa machine à succès? On espère bien que non! Quand on voit que Super Mario World est tout autant charismatique de nos jours, qu’il l’était à sa sortie, on s’incline humblement devant Miyamoto et on saute sur Yoshi à la recherche des interrupteurs de couleur. OMG, il existe même un yoshi bleu.

Super Metroid, (Super Nintendo, 1994)

Qui a dit que les filles et les jeux vidéos ne faisaient pas bon ménage? Certes il y a Peach qui passe son temps à se faire enlever et certes il y a Zelda qui passe son temps à se faire enlever, mais Samus ne fait pas partie de ces gens là. Elle a une armure, des gros pistolets qui font pan-pan et elle vit dans l’espace. Ce classement révèle-t-il également la femme parfaite? Peut être bien.

Street Fighter II (Super Nintendo, 1991)

Premier jeu de combat du classement, Street Fighter est une valeur sure en matière d’uppercut, de coup de boule et d’autres Zidanerie. Ah, et puis surtout, Chun-Li <3 .

Final Fantasy III (Famicom, 1990) / Final Fantasy VI, (Super Nintendo, 1990)

Ex-æquo, les deux opus n’ont pas à faire rougir la firme Square à qui ils ont apporté gloire, calme et volupté. Bon là je n’y ai jamais joué, mais on en parle tellement tout le temps que ça doit être bien.